| Sujet: aisling selena malefoy + outta my way Dim 31 Mai - 22:15 | |
| ︎ « Aisling Selena Malefoy » Voila... Voila, c'est qui je suis. J'ai présentement 16 ans et je suis étudiante en sixième année Je suis né(e) le 12 juin à Belfast; je suppose qu'on peut donc dire que je suis d'origine irlandaise et anglaise. Mon sang est plus pur que le diamant et on connaît ma famille parce que c'est une branche de la célèbre famille Malefoy. ︎ Si je dois vous parler un peu de moi je dirais que je suis hétérosexuelle et même que je suis cébitaire pur jus.. Sinon il se passe un truc hallucinant, on me dit que je ressemble à Barbara Palvin; et c'est à mélopée que je dois tout ça. ︎ Oh sinon moi... J'ai un pouvoir : faire chavirer les coeurs. Ou pas, c'est selon. ︎ Voldemort mange des patates sautées (le tout avec la voix de golum) Enfin ! C'est ce qu'on dit ! Et sinon, moi c'est Virginie et j'ai 20 ans. J'ai connu SW' par PRD et j'ai quelques commentaires. Les voilaaaa ! Je galérais avec la fiche, mais en fait ça va, je suis juste pas douée | | Pur Sang Arabe - Fière, élégante, puissante. Oui mais surtout capricieuse, et doté d'un sale caractère, Aisling est connue pour ruer dans les brancard dès que quelque chose lui déplaît, un peu à l'image de ce magnifique cheval qu'est le pur sang arabe. Indépendante aussi, cela va de soi, même si en général on se fie d'abord aux apparences, parfois émerveillé, souvent intimidé, avant de prendre la peine de la connaître. Colibri - à la façon de l'oiseau qui bat ses ailes si vite que leur mouvement paraît imperceptible, Aisling est le genre de personne qui ne tient pas en place. Si elle était née quelques années plus tard, on l'aurait probablement qualifier d'hyperactive. De plus, elle reste rarement longtemps au même endroit, elle a sans cesse besoin de bouger, de voir de nouveaux horizons. C'est sans doute pour cela qu'elle affectionne tout particulièrement son balais, le seul qui puisse lui octroyer un semblant de liberté. Furet - Un furet, ça a la principale caractéristique d'avoir une bouille incroyablement mignonne. S'il en va de même pour Aisling, c'est avant tout sa capacité à fourrer son nez partout, son don pour se mettre dans des situations pas possible, mais surtout sa facilité à faire les yeux doux pour s'en sortir indemne. À la manière de l'animal, la jeune-fille est curieuse, ingénieuse, et toujours débrouillarde quand il s'agit de sortir d'un mauvais pas. | « T’es sûre que cette fille est une Malefoy ? » Hein ? De quoi ? J’ai entendu mon nom ? Je me retourne vivement vers ce qui me semble être la source de bavardages inopinés. Enfin, vous me direz, parler dans les couloirs, on a le droit, mais la décence voudrait qu’on évite de parler sur le dos de quelqu’un quand cette personne est deux pas devant vous, simple question de logique. Je jette un regard sombre aux deux pipelettes qui parlaient de moi, lesquelles ne perdent pas de temps pour prendre leurs jambes à leur cou. Aish, les filles, de vraies calamités. Bon, je parle, je parle, mais je suis pas forcément mieux. Faut dire que leur question était légitime : j’ai pas grand-chose de la belle et illustre famille Malefoy. La faute à ma mère, une irlandaise sang-pur un peu barjot, qui passe son temps à peindre des pot-de-fleurs qui parlent. On dit que mon père l’a épousé par dépit, petit dernier d’une lignée Malefoy en bonne et due forme, il lui fallait trouver une épouse au sang pas trop crado. Alors qu’importe qu’elle soit à moitié cinglé, hm ? ‘Fin, ça, c’est les racontars. La vérité, c’est que mon père n’est pas fondamentalement mieux. Je crois que ça lui a grillé le ciboulot d’être le cadet. Au moins, avec ma mère, il devait se sentir puissant, important, ou que sais-je. Ce dont je suis sûre en revanche, c’est qu’il l’aime, ça oui. Au point de quitter l’Angleterre pour se perdre dans les faubourgs de Belfast. Ma mère prétendait qu’elle ne pourrait trouver l’inspiration nulle part ailleurs, et nous y voilà après vingt ans de mariage, toujours à peindre le même putain de pot de fleurs. Je sais pas si mon père s’en est déjà rendu compte, j’espère pour lui que non. Bref, ma famille, je vous en reparlerai plus tard, la question c’est de voir ce qu’il en a résulté : une fille excessive, un peu barje elle aussi, du genre à aimer la bagarre. Pourtant, je suis une Malefoy, une vraie de vraie. Sans doute plus vraie encore que mon père. Dans mes veines coulent une fière lignée de sorciers auxquels je rends hommage comme je peux. Qu’on ne s’y méprenne, je suis pas du genre coincée, les lèvres tellement pincées que mes cousins auront des rides avant trente ans. On peut dire que je suis l’enfant terrible, celle qui fait les quatre-cent coups, mais toujours dans la tradition familiale, avec un sourire méprisant, et un regard qui en dit long. On me prête rarement de bonnes intentions pour être honnête, et c’est probablement justifié. Disons simplement que je suis trop jeune pour me prendre la tête. De toute façon, on ne m’a jamais rien interdit, et je vois mal pourquoi ça changerait maintenant. Puis bon, quelque part ça me va bien, ce côté tête brûlée, sportive comme pas deux, un peu garçon manqué sur les bords. Parait que je suis une canaille, une « future délinquante ». Mouais. Mon père vous dirait sûrement que je ne suis rien d’autre qu’une gosse en mal de sensations, et ça me tue de devoir lui donner raison. Je crois que mon père aurait préféré - et de loin - un garçon, mais étant donné que j'avais été plus que difficile à mettre au monde, les médecins déconseillèrent fortement à ma mère de retenter l'expérience. Je ne me souviens pas vraiment de ce jour-là, je ne suis même pas sûre d'avoir assisté à la scène, mais je soupçonne un sentiment de soulagement du côté maternel. Mon père en revanche, ça n'a pas dû lui plaire, mais le sot aimant sa femme ne tenta plus jamais rien. Enfin, ça c'est ma version, et je vous demanderai de bien vouloir préserver mon innocence. | ‣ Quelle boisson préférez vous ? - Un soda - Un café - De la bière - Un sirop
‣ Quel est votre animal preferé ?
- Un rat - Un furet - Un chien - Une mante Religieuse
‣ Matiere préférée
- Potions - Botanique - Dada - Sortilège
‣ Pendant votre temps libre? - Vous pratiquez un art - Vous bossez vos cours. - Vous faites du sport - Vous explorez Poudlard.
‣Que pensez vous du ministère de la magie ? - Ils sont inutiles. - Heureusement qu’ils sont la. - J’aimerais y travailler. - Je m’en fous j’ai autre chose à penser.
‣ Dans quelle maison vous aimeriez aller ? Serpentard, histoire de pas trop faire différent du reste de la famille. Puis, le vert me va au teint.
‣Dans quelle maison vous n’aimeriez pas aller ? Si je n'écoutais que moi, je dirais Poufsouffle. Déjà parce que c'est chaud à prononcer. Si j'écoute mon père, je dirais Gryffondor en revanche.
‣Plus tard vous voulez être ?
- Employé au ministère - Enseignant - Sportif - Infirmier
‣ Etes vous sociable ?
- Oui j’ai plein d’amis - J’en ai quelques uns mais fidèles - Je suis demandé - Je sais pas j’ai pas le temps
‣ Vous assistez à une agression, que faites vous ?
- J’appelle a l’aide - Je vais aider. - Je passe mon chemin j’ai pas le temps - Je suis l’agresseur t’sais.
‣Que pensez vous du statut de sang ?
- Les sang purs sont les meilleurs. - Les sang purs sont tous débiles… - Quoi ? C’quoi cette injustice ? - Je sais pas j’ai pas le temps.
‣ Pendant les vacances vous… ?
- Faites un sport, promenez, sortez, vivez. - Reflechissez a votre avenir - Faites des petits boulots - Vous vous réfugiez dans les jupes de maman. | o n c e . u p o n . a . t i menot so long ago C'était un soir pluvieux, où le tonnerre grondait par tous les dieux. Enfin, en vrai, je n'en sais rien, mais c'est ce que m'a toujours raconté mon père. Cependant, je crois que son goût prononcé pour le mélodramatique fausse légèrement sa perception du passé. Toujours est-il que je suis née en Irlande, un soir d'été. Je suis la fille d'un certain Malefoy, Julius Malefoy pour être précise, et de Siobhàn O'Hair, deux sangs-purs qui s'étaient rencontrés quelques années plutôt dans une épicerie à Belfast. Là encore, je ne peux que répéter ce que l'on m'a dit, même si je trouve cela horriblement cliché. Ma mère n'en était pas à sa première grossesse. En vérité, elle avait déjà été enceinte une première fois, avant son mariage, mais elle fit mystérieusement une fausse-couche. Une seconde fois, elle mit au monde un petit garçon prématuré, qui ne survécut pas plus de trois semaines. D'après certaines sources, c'est à partir de là qu'elle a vraiment commencé à dérailler. Finalement, elle m'a eu moi, qui a l'inverse de mon frère décédé, avait pris tout mon temps pour sortir du ventre. Je fus nommée Aisling Selena Malefoy. Selena, ça appartiendrait à l'une de nos ancêtres, info à vérifier. Aisling, c’est ma mère qui l’avait choisi, parce que cela signifiait Rêve. Malefoy, je n’ai pas besoin de vous l’expliquer, je crois … Enfin, si, un peu. Ne croyez pas que je suis l’une de ces Malefoy devant laquelle on s’incline si bas que le nez touche le sol. Je pourrais, mais disons que mon père n’a jamais été très bien vu par la famille. Ma mère encore moins. Certaines mauvaises langues vous diront que si Julius a épousé Siobhàn, c’est uniquement pour préserver la pureté de son sang. Il faut dire qu’il a été la chercher, ma mère : du genre illuminée, peintre accomplie, qui passe sa vie à peindre des natures mortes. Elle a refusé de déménager de Belfast, forçant mon père à s’y installer, car, disait-elle, il n’y avait que là qu’elle trouvait l’inspiration nécessaire à ses toiles. Je me demande si mon père s’est jamais rendu compte que pendant dix ans, elle avait peint inlassablement le même vase, dont les fleurs desséchées se succédaient au fil des années. Néanmoins, je crois qu’il aimait tendrement ma mère. Je n’ai même jamais vu quelqu’un de plus amoureux que mon père. Sa plus grande déception fut celle de ne jamais avoir de fils. Oh, vous me direz, il m’a eue moi. Il aurait voulu d’autres enfants, histoire de perpétuer notre illustre histoire familiale ! Il m’a toujours semblé qu’il ne considérait pas qu’une fille puisse faire honneur à son nom. Ce n’est pas toujours gai à entendre, mais on finit par s’y faire. Voilà donc le joyeux bordel dans lequel je suis née : une mère un peu barjot, un père qui l’est aussi mais d’une toute autre manière, une famille qui nous méprise, et puis y a moi, une gamine qui essaie de se faire une place. Très tôt déjà, j’ai compris que ce ne serait pas évident. J’étais une Malefoy, mais pas la bonne Malefoy. J’étais une fille de surcroît, là où on aurait préféré un garçon. J’étais une sang-pur, mais on me prêtait le même destin qu’à ma mère. Et moi, je pouvais juste me taire, et essayer de comprendre ces reproches informulés que l’on me faisait. Sympa, le début de vie. s l y t h e r i n ! cute, but devilish inside Quelle surprise n’est-ce pas de me voir quelques années plus tard déambulant fièrement dans les couloirs de Poudlard une cravate verte autour du cou. Le choixpeau avait fait son choix, ce serait Serpentard pour moi. Il allait de soi que cette maison me collait à la peau, et personne n’aurait pu prétendre le contraire ! Enfin … Si, quelqu’un aurait pu. Cette personne, c’était mon reflet. Avais-je toujours souhaité être serpentard ? Grand dieu, non. Enfant, je rêvais d’être Gryffondor. Je voyais chez eux un courage et un charisme que je ne trouvais pas chez Serpentard. Un jour, je me surpris à vouloir être Serdaigle, simplement car on disait d’eux qu’ils étaient les plus sages. Mais la vérité était que j’aurais tout aussi bien pu être Poufsouffle. J’enviais souvent la simplicité de ces derniers, moi qui me battais en permanence pour garder un air impérieux, propre à mes origines, fière de mon sang. Pourtant au fond, n’étais-je pas mal à l’aise ? Je soupçonnais parfois le choixpeau de s’être contenté de me répartir selon mon nom. Pourtant, ce Black que je croisais parfois dans les couloirs, il était bien Gryffondor, non ? Je ne me suis jamais plainte de ma maison, surtout pas devant mes parents. Et ne vous y méprenez pas, j’ai toujours été extrêmement heureuse d’être une serpentard. Les faits étaient les suivants : si j’étais une tête brûlée, qui aimait me mettre dans des situations pas possibles, je n’étais pas assez courageuse pour être Gryffondor. J’étais curieuse, j’aimais apprendre, mais pas assez sage pour être Serdaigle. En revanche, j’ai toujours été loyale et honnête envers mes proches, mais probablement pas assez humble pour être Poufsouffle. Non. Depuis toute petite, j’étais une enfant à laquelle on avait appris l’orgueil, l’importance de la naissance, mais plus encore, j’étais une fillette qui avait grandi dans le besoin constant de faire ses preuves, de prouver sa valeur. Je voulais me différencier, et c’était sans doute pour cela que j’avais souhaité me retrouver dans une maison différente de celle de ma famille. J’étais prête à tout pour cela, aveuglée par ce désir. C’est sans aucun doute cette ambition qui a décidé le choixpeau de m’envoyer chez Serpentard. Aujourd’hui, j’en suis plus que satisfaite, et je me rends bien compte qu’aucune autre maison n’aurait pu autant me convenir. Six années s'étaient écoulées depuis mon entrée à Poudlard. Six belles années pleines de rencontres merveilleuses et de ... ouais, enfin, non. Oh, je ne vais pas mentir, j'ai passé de très bons moments au cours de ces six années. Je me suis amusée, j'ai fais des rencontres plus ou moins agréables, appris certaines choses. Mais je n'aime pas l'idée d'être enfermée la plupart du temps. Ce besoin de liberté, j'y ai pallié avec le Quidditch, et cette sensation que me procure les airs. Une fois sur mon balais, plus rien ne compte vraiment. Juste moi et les souafles que je dois dévier (et parfois les cognards qu'il me faut éviter). Je sais que ma famille aimerait me voir rentrer au ministère, et par la même occasion prouver que nous sommes dignes de notre nom, nous aussi mais pour être honnête, ce n'est pas dans mes plans. Bien sûr, il est encore trop tôt pour y penser, mais je me vois bien plus essayer d'intégrer une équipe de Quidditch en sortant de Poudlard, et m'adonner pleinement à ma passion. Le reste ... oh, le reste n'a que peu d'importance. Qui se préoccupe d'être influent au ministère quand votre seul nom a le pouvoir de faire rêver des milliers de personne ? En attendant, je mène ma petite vie bien tranquille dans les couloirs de Poudlard. Je ne suis probablement pas la plus appréciée de l'école, encore moins par les professeurs des autres maisons. Apparemment ma tendance à me foutre de tout et de tout le monde leur déplaît. Celle à me mêler de ce qui ne me regarde pas aussi. On dit que je me crois tout permis, c'est en partie vrai. On a toutefois jamais réussi à me prendre la main dans le sac pour une connerie ou pour l'autre, à croire que j'ai un talent inné pour sauver ma peau. Les événements récents ne m'atteignent que de très loin. C'est en tout cas ce que je laisse entendre à qui veut. En réalité, et comme toujours, je m'interroge beaucoup trop. Je ne dirais pas que j'ai peur, ça non. En vérité, je me sens en quelque sorte protégée par mon nom, ma lignée, le sang qui coule dans mes veines. Mais suis-je réellement du genre à attendre que les choses se passent en me cachant derrière des attributs qui m'ont été transmis ? Voilà une question des plus intéressante, à laquelle je n'ai pas encore trouvé de réponse convaincante. Ma foi, quand bien même j'en trouverais une, elle ne regarderait que moi de toute façon.
Dernière édition par Aisling S. Malefoy le Dim 7 Juin - 17:00, édité 11 fois |
|