Familly is all [Sha-Rin-Lix]

Je m’étais levée aux aurores ce matin. Aucune raison de réveiller la jolie miss Orland que le pays des rêves devait sans doute noyer. J’avais donc attrapé un livre, une pomme –elle trainait sur la table de nuit de Sasha et était plutôt jolie-, et j’étais descendue, sans prendre le temps d’enfiler ma robe de sorcier. De toute façon, c’était samedi, aucune raison d’avoir le bel uniforme. C’est donc habillé d’un débardeur et d’un jean tout simple (vive les tenues moldues !) que j’étais allée dans le parc, m’asseoir sous un arbre.

Croquant dans ma pomme de temps à d’autre, dévorant mon roman. Ou l’inverse, je ne me souvenais plus très bien. Au bout d’une demi-heure de lecture, j’avais rangé mon livre dans une petite sacoche et j’avais marché, ou courut, je ne sais plus, dans le parc. La douce brise matinale faisait voler mes cheveux et c’était un régal de sentir le soleil réchauffer de plus en plus ma peau claire. Mais bon, j’allais bien devoir remonter à la salle commune, parce que Sasha allait pas tarder à se réveiller et que j’avais envie de l’embêter. J’avais envie de lui jeter un coussin sur la figure. Oui, j’étais comme ça moi, j’avais des envies bizarres.

C’est donc toute guillerette que je me rendais à la salle commune. Je lançais distinctement le mot de passe, et me faufila dans la pièce. Sasha était là, par terre, étalée comme une crêpe sur le sol. Je m’approchai un peu et lui toucha les côtes avec le bout de ma chaussure. « Salut ! » lui lançai-je d’un ton jovial.

Pour un samedi, je m'étais réveiller très tôt,Je n'aimais pas traîner au lit le matin, enfin c'était une façon de parler car je finissait toujours par retourné me couché.

Je m'étais levé, il faisait encore noir, le soleil n'était toujours pas levé, même si il n'allais surement pas tardé. j'enfilais les premier truc qui me tombais sous la main, ce qui se résumais à un jogging gris et un tee-shirt blanc. Je quittais ma chambre et me dirigeais dans la salle commune ou j'y allumais la cheminé, sans faire trop de bruit bien sur, je ne voulais pas réveiller les deux charmantes demoiselles qui devait dormir encore à cette heure si.

Je sortis tout aussi discrètement et j'allais à l’extérieur du château ou je profitais qu'il n'y ai personne encore pour courir et même piqué une petite tête dans le lac. Le soleil c'étais levé et je montait sur la branche d'un arbre, Le soleil me réchauffais et me séchais, et je finie par me rendormir sur la grosse branche.

Quand je me réveillais, il devais être midi passé. Je descendis de l'arbre, attrapa mon haut que j'avais malencontreusement oublier à moitié dans l'eau, je l'enfilais même si il me collais au torse et je rentrais dans la salle commune où les filles était certainement.

Sasha était allongé par terre et Eirin venait certainement de rentré vue qu'elle venait de dire salut. Je fermais la porte, me raclais la gorge.

- Salut vous deux !!

Sasha avait juste levé la main en guise de bonjour. M’warf, j’étais habituée à ses saluts mous et sans grande conviction, elle était comme ça. J’entendis son ventre gargouiller et tout en m’asseyant en tailleur près d’elle, me sentit légèrement coupable de lui avoir volé sa pomme. Enfin, volé … elle était juste posée là, sur sa table de nuit. Disons que je lui avais emprunté sa pomme. D’ailleurs, elle avait l’esprit plutôt vif ce matin –ce qui était plutôt rare venant d’elle, croyez-moi ! – et elle me demanda si c’était moi qui lui avais volé sa pomme. Elle me gratifia même du surnom « Eve » (mais si, vous savez, Adam et Eve, les gens qui se promenaient tout nus sous prétexte que Dieu les avaient créés !).

Je n’eu pas le temps de répondre qu’Alix entra dans la salle, le t-shirt collant à la peau. Il nous salua mais Sasha lui répondit plus vite que moi et sa phrase me fit rire. Je me défendis : « J’vois pas de quelle pomme tu parles ! Salut Alix ! ». Puis son ventre grogna de nouveau et je me levai rapidement. « Bon attends moi ici, j’dois avoir quelques chocogrenouilles dans mon sac au dortoir. Et une brosse au passage parce que tes cheveux Sasha … »
Oui, ses cheveux. C’était un enfer à voir, un paradis pour les nœuds.

Au passage, je claquai sur la joue d’Alix un énorme bisou, contente de le voir tout de même. Cependant, son t-shirt mouillé et qui lui collait à la peau (oui, ça m’a marqué voyez-vous.), allait le rendre malade s’il ne le changeait pas vite. Où s’il ne séchait pas. Du coup je lui tapotais la tête –en me grandissant un peu, parce qu’Alix était plus grand que moi– et lui chuchota : « Assieds-toi près du feu, tu vas tomber malade. », avant de filer chercher ce dont j’avais besoin au dortoir.

Who quelle accueille chaleureux me réservais toujours Sasha! mais que voulez vous elle était comme sa. Mais je l'aimais bien quand même cette petite tête... Adam ? donc si j'était Adam ... Eirin était eve... ouuulalalalala ça allais plus ! Mon cerveau allais rentré en ébullition ... je devait me reprendre. sauf quelle me fit un bisou. et je devais ABSOLUMENT parlé d'autre chose, je me raclais donc la gorge.

- Tu lui as piqué de la bouffe Eirin ? et tu m'en as même pas garder un morceau? c'est pas bien ça !!

Je regardait Eirin me tapoté la tête et sur son adorable conseil, je m'approchai de la cheminé, retirait mon haut et l'étendais prés du feu, m'asseyant au sol suivant du regard la belle blonde qui partait. franchement, j'ai cru que son bisou allais m'achevé et que j'allais piqué un phare, mais je pense avoir réussit à m'en sortir pas trop trop mal. Je regardait Sasha toujours allongé au sol. Fallais bien que je embêté un peut cette petite tête de Sasha enfin... un peut ... un peut comme d'ab' quoi. je souriait et lui tirais la langue (à la fin de la phrase qui suit).

- ... Adam ... Pourquoi Adam ... ?? je s'avais pas que tu connaissait des truc historique comme ça !!!

Quand je dit à Eirin qu'elle aurait pue m'en laissé, je regardais Sasha d'un air amusé et c'étais même très drôle tout ça.et je réussit même à lire sur ses lèvres un début de phrase. En m'approchant donc je lui demandais

- Avec une pomme je quoi? tépette j'ai pas entendu la suite !?

hahaha je sens que j'avais gagné cette manche !! et je crois aussi que la jeune fille allais trouvé des argument et prendrais le dessus et gagerais la prochaine manche. Elle trouvera bien qu'elle que chose, une faille dans ma petite armure bien solide ... enfin je crois ... m'enfin bref.

Elle désigna mon torse nu, et je suivie son regard sans vraiment trop comprendre, ba qu'es ce qu'il y avais, j'était pas du style grosse patate, sinon je ne l'aurais pas retiré, mais je n'était pas non plus style bodybuildeur sinon je n'aurait pas mis mon t-shirt mouillé, j'était normal quoi. je la regardais s'adossée.

- qu es ce qu'il as mon torse ? oh es ... mignonne ta culotte !

Et oui que voulez vous, j'était un mec, bien sur c'était pas la premier que je voyais soyons clair, mais en voir ne me dérangés pas.

Alors, une brosse et des chocogrenouilles. Oui, c’était simple à trouver non ? Alors pourquoi j’étais pas foutu de mettre la main sur ma brosse ? Elle était introuvable et j’étais sûre de l’avoir laissée dans le dortoir, sur ma table de chevet ! Je grommelais et chercha partout, fouillant même dans les affaires de Sasha. Bwarf, elle ne m’en voudrait pas, de toute façon, j’avais tout bien remit à sa place. Je m’arrêtais une seconde pour épier leur conversation, mais il ne me vient que les mots « culotte » et « noël ». Je haussais les sourcils et descendis après avoir mit la main sur ma brosse –qui se trouvait dans un tiroir de ma table de chevet–.

« Qu’est-ce qui te servira de pyjama, Alix ? » J’étais arrivé au moment où le garçon avait prononcé cette phrase. Je m’approchais de ma meilleure amie, posant un bol remplit de chocogrenouilles près d’elle. Sans rien rajouter de plus, je pris une poignée de cheveux pleine de nœuds et brossa énergiquement les cheveux roux de la jolie demoiselle assise sur le fauteuil.
Bon, je lui arrachais pas les cheveux non plus hein, j’y allais énergiquement mais avec douceur. Je savais m’y prendre avec les cheveux rebelles. J’observais Alix du coin de l’œil, avant de demander à Sasha : « Et toi, qu’est-ce que tu comptes lui offrir pour noël Sha ? »
« Sha », c’était un petit surnom que j’aimais bien lui donner. De un, c’était le diminutif le plus mignon de « Sasha », de deux, c’était un animal paresseux, alors bon. Sha, ça lui allait à merveilles.