« You stay back but i know you're broken » ▬ Ft. Alix ♥ [Terminé]

Un gémissement étouffé. Une larme qui coule et tombe le long de mon menton. Et une seule phrase qui me revient sans cesse en tête « Papa est mort. ». Je n’arrivais toujours pas à le supporter. Ça faisait un petit moment maintenant. Et pourtant, rien n’avait changé. Je me sentais toujours comme le jour où j’ai l’ai découvert, noyé dans son propre sang. Heureusement que Logan n’avait pas vu ça. Heureusement, sinon … sinon quoi ? Il était bien trop jeune. Bien trop jeune pour avoir à me voir dans cet état. Bien trop jeune pour que maman ne s’en occupe pas. Bien trop jeune pour voir ce que j’avais vu. Pourquoi lui ? Il y avait tant d’autres personnes qui méritaient de mourir comme mon père est mort ! A commencer par cette ordure d’Aaron !

… Non. Non, je devais pas me mettre à souhaiter la mort des autres. Ce n’était pas moi. Et je suis sûre que s’il m’entendait, il me crierait dessus. J’essuyais la larme vagabonde et je reniflais un peu. De toute façon j’étais toute seule pour l’instant, alors à part quelques tableaux et un ou deux fantômes, personne ne m’avais vu. Je n’avais qu’à me redresser, me recoiffer un peu et si je croisais quelqu’un, je lui sortirais l’excuse du : « Quoi ? Les yeux pleins de larmes ? Mais non, j’ai baillé ! », ça marchait à tous les coups.

Je me levais, les jambes en guimauves. Que voulez-vous, j’avais passé un temps fou assise par terre. Et je me dirigeais vers la sortie de ce couloir. J’irais me réfugier dans la salle commune, avec Alix, Sasha enfin, toute la clique quoi. On parlerait du vent, de la pluie, du quidditch, des filles, des garçons. De tout et de rien. Et c’est ce qu’il me fallait. Parler de tout et de rien. Mais je n’eu pas le temps d’arriver au bout du couloir, qu’une tête brune, que je connaissais plutôt bien déboula vers moi, manquant de me bousculer. Je me collais contre le mur et le regarda, avant de souffler : « Alix ? »

Piouf j'avais eu une journée ... comment dire ... du tonner, c'était aujourd'hui "l’anniversaire" si on peut dire sa comme sa, de la mort de ma chère mère, il y a 12 ans de cella, qu'elle as disparut de la circulation, on a jamais retrouvé sont corps ... mais c'est aussi le jours où 1 ans plus tard, une très longue année, j'ai quitté mon père, où j'ai quitté l’Amérique pour la campagne paisible de l’Angleterre. Un soulagement pour moi.

Bien sûr mon chère et tendre ami Aaron Rembrandt n'avais pas manqué de me le rappelé bien sur, c'était comme un jeu pour lui ... Mais un jours je lui ferais regretté et c'est d'ailleurs se que je lui avais craché au visage, comme à peut prés chaque fois, et cella l'avais bien fait rire, et c'est d'ailleurs pour cette même raison que je filais me rendant dans la salle commune, ou je prendrais ma baguette pour faire disparaître la plaie sur mon arcade, et peut être même réparé une ou deux côtes ...

Je n'avais pas vu Eirin, et je manquais de lui rentré dedans apparemment vue qu'elle c'était plaqué contre le mur.Je la regardais un peut confus.

-Eirin !! pardon excuse moi !

Il s’excusait, et moi je le regardais, sans trop savoir quoi dire. L’incendier ? Boarf, j’n’en voyais pas l’utilité, il ne m’avait pas bousculée. Néanmoins je fronçais un peu les sourcils, faussement fâchée et croisa les bras sous ma poitrine. « Où tu vas comme ça ? » Il avait l’air pressé. Et dans ses pensées. Oui, quand on y réfléchissait, Alix aussi avait perdu sa mère. Et si mon souvenir était exact, c’était aujourd’hui, l’anniversaire de sa mort. Brr. Ça fait froid dans le dos, « anniversaire de mort ». Je baissais un peu les yeux, cherchant quoi lui dire.
Moi, ça m’énervait, toutes ces personnes que je ne connaissais pas, qui me serraient dans leurs bras en me disant « Toutes mes condoléances ». Comme c’était creux et vide de sens. Comme si leurs « condoléances » pouvaient alléger la peine que j’avais ressentie à cet instant. Peut-être qu’Alix ne voudrait pas que j’en parle. On verra bien de toute façon.

Je chassais mon air faussement fâché afin de laisser place à mon plus radieux sourire. Bon, ça devait faire bizarre, avec les yeux encore pleins de larmes. Mwarf. Temps pis. Je scrutais un peu le visage du brun pour y trouve une quelconque information sur sa hâte. « T’es poursuivit par un dragon ou quoi ? », en lui tirant un peu la langue, histoire de … de tirer la langue.

je la regardais. c'est que cette fille était vraiment Wouaw enfin bref la n'était pas la question, et se n'était n'y le sujet. Elle croisait les bras, j'espére que je ne l'avais pas trop énervé quand même.

-

Désolé ... t'énerve pas hein ! j'vais dans la salle commune récupérer ma baguette, j'en ai besoin avant de me vidé ...

Je lui désignais le morceau de tissus que j'avais plaqué sur ma tête, du regard.
apparemment elle cherchais quoi répliqué, elle s'avais bien évidement pour ma mère, et elle s'avais se que c'était de perdre un parent, vue qu'elle a perdu son père et vue c'est yeux humide elle avais pleuré il n'y a pas très très longtemps. Ce que j'avais le plus détesté dans l’enterrent, et se dont je m'en souvient encore, c'est cette file de gens que vous n'allé sans doute jamais revoir et qui vous tapote la tête en vous disant, pauvre petit garçon ou il faut être courageux ou alors on comprend que tu soit triste mais .... mais non il ne pouvais pas comprendre, il n'avais pas perdu leurs mère, il n'avais pas mon age non plus. Bref.

Je la regardais toujours et sourit grandement à sa remarque, non heureusement que je n'était pas poursuivie par un dragon, sauf Si Rembandt comptais comme un dragon, dans ce cas la peut être oui.

- Non t'en fait pas ... mais toi ... malgré ton beau petit sourire, je vois bien qu'il y a quelque chose qui va pas Eirin ...

Dans la salle commune ? Au sixième étage ? Je haussais un sourcil. Oui enfin bon, pas qu’il soit un peu beaucoup loin de la salle mais un peu quand même, n’est-ce pas ? Je secouais la tête. Celui là alors. Sept ans qu’il parcourait le château de long en large et il arrivait encore à se tromper pour la salle commune. J’attrapais ma baguette et murmurais un « Episkey » à peine audible, histoire de le guérir. Voilà. Il ne saignait plus et il avait retrouvé sa beauté de jeune garçon propre. Oui, avec le sang il était sale. Grr.
M’bref. Il m’avait rassurée en me disant qu’aucun dragon ne le poursuivait. Bon, temps mieux. Et pourtant la phrase qui suivit me fit perdre mon « beau sourire ». Je baissais un peu les yeux et les frottais. « Oh, non t’en fais pas. J’ai baillé. »

Bon, je savais qu’Alix n’allait pas y croire, il n’était pas dupe et me connaissait comme s’il m’avait faite. Mais je pouvais toujours essayer, après tout, qui ne tente rien n’a rien ! Non ? Si ? Bwarf, peut être. J’observais le poufsouffle en face de moi après avoir enlevé mes mains de mes yeux (parce que pour observer, c’est toujours plus pratique) et je me râclai la gorge : « Bon, si j’ai bien compris tu viens du septième étage ? Tu faisais quoi là-bas ? Et pourquoi tu saignais ? » Boum. Je le bombardais de questions. Comme ça, on était occupés pour un petit moment !

Je sais on pourrait pensé que je suis fou car la salle commune, du moins la n'autre étais au rez de chaussées et la on été au sixième étage normale je venet de descendre de la volière. Je la regardais attrapé sa baguette et me jeté le sort, pour me soigné bien sur. je soufflais simplement.

-Merci ... tu peut faire la même chose pour mes côte?

Elle me dis qu'elle venais de pleurée et comme elle devait s'y attendre je ne la croyais pas du tout, je s'avais moi qu'elle avais pleurée, sinon elle n'aurait  pas arrêté de sourire. Je la connaissait bien pour savoir comment elle allais réagir, elle allais me bombardé de question, pour esquivé le sujet bhow j'y reviendrais bien un moment ou un autre de toute façon. et se qui arriva me fit grandement sourire.

- C'est ça évite le sujet Eirin, je sais que tu as pleurée, je te connais ! ... ba enfaîte je descendais de la volière et ... je ... je suis simplement tombé...

Bon, tombé, tombé, il fallait bien avoué que Aaron, m'avais aidé à tombé contre se mur dans les escalier mais sa n'avais pas beaucoup d'importance, j'avais l'habitude et du moment que ce n'était que moi ... J'avoue que j'avais un peut expédié c'est questions mais elle allais s'en doute m'en posé d'autre par la suite et j'avoue que je m’inquiétais plus pour elle que pour moi.

La même chose pour ses côtes ? Parce que cet … abruti, courait avec des côtes cassées ? Je fronçais les sourcils. J’m’appelais pas Pomfresh moi hein. Il allait se débrouiller tout seul comme un grand et lui dire « Hey m’dame, j’suis tombé, c’possible de réparer mes côtes ? ». Ce qui, la connaissant, allait la faire râler un peu. Je secouais la tête et en fronçant un peu les sourcils, marmonnais : « Va voir Pomfresh. » Voilà. Ça, c’était dit.
Quoi ? Moi ? Eviter le sujet des larmes ? Pfeuh. Pas du tout. J’étais pas comme ça voyons. Si ? Je soupirai, agacée que ce garçon sache lire en moi comme dans un livre. Je grognais un peu et détourna la tête, histoire de ne pas le regarder dans les yeux. J’étais une piètre menteuse, ce n’était plus à prouver. Comme la fois où Logan avait brisé un vase d’une valeur inestimable dans un musée et que papa, devenu tout rouge, avait commencé à lui crier dessus. Bien sûr que j’avais défendu mon petit frère, en essayant de reporter la faute sur une de mes sœurs. Mais ça n’avait pas marché et Logan s’était fait remonter les bretelles.

Je souriais un peu à ce souvenir, puis dit tout haut : « Je n’évite aucun sujet. ». Voilà. Clair, net et précis. Je le regardais de nouveau. Hm, tombé ? Genre comme ça ? Pouf, j’tiens plus sur mes jambes, je tombe ? Mouais, ça tenait pas la route cette explication. Je fronçais les sourcils et le poussa légèrement (pas trop fort, il a mal aux côtes le pauvre) : « Mouais, ça tient pas la route ton histoire. M’enfin, fait attention, t’es vraiment un boulet des fois, Lilix. ».
Quoi ? C’était on ne peut plus vrai !

Bon à se que je voyais, pour mes côte c'était rapper, bon t'en pis j'irais me soigné moi même car il est hors de question que j'aille voir une fois de Plus pomfresh, de une par ce que je n'aimais pas y aller, de deux par ce qu'elle allais me posé plein de question à force que j'aille la voir, car je me suis fêlé une côte etc... bref maintenant je connaissait le sort c'était ... heu ... rho tant pis après tout sa guérirais tout seul... en tout cas hors de question que j'aille la voir !

- j'veux pas aller la voir moi...

Bon c'est vrais sa faisait un peut gamin mais peut importe, j'voulais pas aller la voir et j'allais pas blablaté juste pour dire ça, après tout elle avait expédié ce point alors ...
rha elle faisait une bien mauvaise menteuse et la je savait qu'elle essayée de me mentir, même si elle prétendais le contraire. Bon, je sais que mon histoire tenais pas la route, vue qu'elle était en partie inventé, mais je ne voulais pas l’embêter avec mes problèmes, elle devais en avoir suffisamment pour s'occupé des mien.

- ouai je sais que je suis un boulet ... sinon je t'aurait déjà dit ...

Merde la boulette ... il me faillais un rattrapage d'urgence

- ... je t'aurais pas ... je n'aurait pas faillit te marché dessus !

Je souriais. Il avait l’air d’un petit garçon à bouder comme ça. Ah la la, Alix. Comme tu me remontais le moral. Comment ? Juste en étant lui-même, en parlant, en me taquinant, en rigolant. Ouep’, j’avais vraiment de la chance que ce mec fasse partit de mes amis. Vraiment. Bon, des fois il était un peu bête, mais ce n’était jamais lourd. Non, Alix était une de ces personnes avec qui j’aimais papoter des heures et embêter. Parce que mine de rien, il devait me supporter lui aussi. Et croyez le ou non, supporter Eirin Leigh Eldjárn, ben c’était pas rien.
« Il était un boulet sinon il m’aurait déjà dit » ? Quoi ? Je fronçais un peu les sourcils en le regardant. Il essayait de noyer le poisson. (Beurk, des poissons).

Une question me brûlait les lèvres à présent. Il m’aurait déjà dit quoi ? Je sautillais un peu sur place (ouais, je sais, j’ai des réactions bizarres parfois …) et je grognais : « Tu m’aurais déjà dit quoi ? ». Mais il avait déjà trouvé autre chose à me dire. Je soupirais. « Mouais. Bon, que tu le veuilles ou non, t’iras voir Pomfresh. Dit lui que je t’ai fait un croche-patte si jamais … ». Il ne semblait pas décidé à dire à qui que ce soit la raison de sa chute et de ses blessures. Et j’espérais que ce n’était pas trop grave.

J'aimais bien quand elle souriait comme ça, sa me faisait sourire aussi et apparemment je lui avait remonté le moral et c'était une bonne chose.

La vache se que j'allais dire ... du coup j’étais presque gêné et à se que je vois elle a bien capté que j'allais dire un truc et que j'avais essayé de me rattrapé vue qu'elle me demandais se que je lui aurait déjà dit. Et la je rougis pour de bon.

- J... je heu je t'aurais dit un truc ...

Roh mais quelle boulet, elle avait changé de sujet et moi je l'ai relancer comme ça, alors que j'avais dit autre chose pour me rattraper. Elle avais raison, j'était un vrais boulet parfois moi.
Elle voulais vraiment m'envoyer voir l’infirmière, mais moi je voulai absolument pas y aller, et ses pour sa que je croiser les bras en déclarant.

- Non j'irais pas la voir, se se soignera tout seul ! et puis je t'aime trop pour dire que tu ma fait un croche patte ...

... Euh ... De pire en pire je devenais boulet jusque à la racine ... bon se que je venais de dire pouvais encore passer entre les mailles du filet, ça dépend comment elle va l'entendre, et si tout à l'heur j'avais Rougis, la pour le coup, j'était devenu blanc.

Boulet public numéro un. Alix Bénarés, Stark. Je soupirais un peu, agacée. On aurait dit qu’il essayait de me glisser un message subliminal et je n’aimais pas vraiment les devinettes. Et puis, c’était sans compter sur les joues du garçon qui passaient d’un rouge vif à un blanc fantomatique. Bon. Il n’avait pas envie d’aller voir Pomfresh. Soit. Je me décollais du mur pour me mettre en route vers ma salle commune. J’allais pas passer la matinée collée à un mur, tout en papotant. Si ? Eh bien non.
Moh. C’était mignon. Il m’aimait trop pour m’incriminer auprès de notre infirmière adorée. Je levai les yeux au ciel et souriait de plus belle. « M’enfin Alix, elle te fait si peur que ça Mrs Pomfresh ? » Je riais et me mis en marche, vers la salle commune.

Non, je ne lui parlait pas de sa réaction douteuse. Non, je ne l’embêterais pas à savoir pourquoi il avait les côtes fêlées. Et d’ailleurs, comment se faisait-il qu’il puisse courir ? Moi, je serais allongée sur le sol à pleurer comme une enfant. M’enfin, bref … Je lui lançai, lorsque je fus éloignée d’environ cinq mètres de lui : « Débrouilles-toi pour tes côtes, mais répare-les, j’ai un travail à bosser à la salle commune ! A plus petit chat ! ». Et voilà. Un surnom mignon pour un type mignon. Grouw !

De un je ne faisait que m'enfoncer, de deux je l'agacer et de trois j'arrivais même à m'énerver tout seul ... Bref, j'était un type, comment dire ... Pitoyable ... ouai je crois que c'est le mot exacte.
j'voulais pas aller la voir et j'irais pas point. alors je grognais un peut.

- Non elle me fait pas peur mais elle va encore me demander pourquoi Aaron ma tapé dessus cette fois si et pourquoi je suis remonter au 6éme au lieu d'aller directement la voir, aggravant ainsi mon cas ...

Je la regardais s'éloigner, elle ne m'avais rien fait remarqué, à propos de ma réaction et maintenant je lui avait dit pourquoi j'avait les côte fêlé sa devait lui paraître bizarre quand même que je puisse marcher aussi vite mais, ce n'était pas la premier fois j'y été un peut ... habitué ...
bref et les cause ne devait certainement pas lui plaire mais peut importe, je préféré lui dire pourquoi, plutôt que de passer pour un lâche qui a peur de pomfresh.
Je la suivait du regard pendant qu'elle s'éloigner, souriant un peut. Petit chat ? je trouve que c'était un surnom adorable qu'elle m'avait donné la, je souriait grandement.

- Hey attend moi Princesse ! j'vais à la salle commune moi aussi ! on peut y aller ensemble non ?

Oui, je trouvais que princesse lui allais bien ,enfaîte, tout les surnom lui allais bien car elle était belle, mignonne et adorable alors ...