INTRIGUE I. - Sujet 3 - { Eden - Zelda - Narcissa - Siobhàn }

♦ Gallions : 4137 ♦ Date d'inscription : 22/02/2011

Eden J. Ezekïel
Zelda Thirlwall
Narcissa N. Malefoy
Siobhàn Jacobson

Samedi 27 septembre au soir, à la Tête de Sanglier.

Un samedi comme les autres dans le bistrot le plus... intéressant de Pré-Au-Lard. Alors que le bar des Trois Balais est plein à craquer d'étudiants ravis de quitter un peu le château, celui qui nous intéresse est quasiment vide. Vous vous êtes tous retrouvés là, par goût du changement, de la solitude, de faire de nouvelles rencontres... Ou simplement parce que vous travaillez là.

Soudain, vous entendez des pleurs, un gémissement. Petit à petit une silhouette apparaît. Un fantôme apparaît dans le bar, en larmes, apeuré, sous le choc. Vous le reconnaissez peut-être, c'était un habitant de Pré-Au-Lard. C'était un habitué et il est assis à sa place, comme tous les jours. Seulement, manifestement, il est mort. Il ne contrôle pas encore son nouvel état et, dans son envie de compagnie, il n'a pas envie que vous partiez. Les portes, obéissant à cette volonté, se sont donc verrouillées. Tenterez vous de l'aider ? De vous échapper ? D'appeler à l'aide ? A vous !

Quelques précisions

- Le fantôme sera joué par le MDJ, mais il sera influencé par vos réactions évidemment ♥
- Vous ne pouvez pas sortir, pour le moment.

HRP

- Le premier tour de post déterminera votre ordre de passage.
- Si la personne qui devait poster avant vous n'a pas posté sous les trois jours, passez son tour, il vous rattrapera.
- Le MDJ peut intervenir a tout moment, et vous pouvez lui demander des précisions.
- Vous n’êtes pas obligés de faire des très longs posts.

Tout se passait normalement ce soir là, c’était du moins mon impression jusqu’à un certain moment de la soirée. J’étais occupée à ranger quelques verres dans ce bistrot où je travaillais depuis un temps désormais quand mon attention fut attirée par une chose des plus inhabituelles. Un cri, un gémissement, un bruit dont j’ignorais la provenance qui résonnait dans la pièce sans que je puisse savoir de quoi il s’agissait. Je ne fus cependant pas alarmée par ce bruit et je continuai ma tâche pendant un moment et, en passant près d’une table, j’aperçus une silhouette diaphane. Un fantôme ? Dans ce bistrot ? C’était une première pour moi qui n’avait connu que les fantômes de Poudlard jusqu’à aujourd’hui.

Après quelques instants d’observation attentive, je reconnus l’un des habitués de l’établissement. Je n’en connaissais ni le nom, ni l’âge, ni même la profession. Je savais simplement qu’il venait régulièrement et, si je l’avais voulu, j’aurais même pu me souvenir de sa commande habituelle. Je n’osais pas m’adresser à lui, alors je passai à côté sans réellement lui demander ce qu’il souhaitait. Après tout, un fantôme ne buvait pas, pas vrai ? Je n’avais pas envie d’être accusée de gaspillage de boisson pour un spectre errant.

Je vis un client se lever et, quand il s’approcha de la porte, je pus constater que celle-ci était verrouillée… Trouvant cela étrange, je m’en approchai à mon tour afin de faire une tentative d’ouverture : sans succès. Je me retournai donc en direction du spectre qui se trouvait là. Était-ce lui ? Je n’étais capable de rien, de toute façon, alors je ne pouvais que faire des hypothèses farfelues.

Narcissa ne savait pas vraiment pourquoi elle se retrouvait là, dans ce bar à la réputation douteuse, en ce samedi soir. Elle aurait eut des centaines de raisons de fuir ce lieux: elle n'étais plus étudiante, elle n'avait aucune obligation à ce retrouver à Pré-au-Lard, de plus, elle était mariée et elle imaginait bien que Lucius devait l'attendre de pied ferme au manoir. Pourtant, cela ne l'empêcha pas de franchir la porte de la Tête de Sanglier avec un air entre l'indifférence et le dégout: elle n'était pas une habituée de ce genre d'établissement, préférant le luxe de son manoir aux ambiance de taverne. Pourtant, c'était son désir de revoir Irélia qui l'avait poussé à venir en ville en ce Samedi et c'était la tristesse de la voir retourner vers le château qui l'avait amené dans ce bar. Un frisson d'angoisse la traversa alors que les mots de sa mère, Druella Black, lui revenaient en tête, qu'il fallait se méfier de ces endroits, que ce n'était que des coupe-gorge, des rendez-vous entre ivrognes ... Elle détacha ses longs cheveux blonds, habituellement ramenés en un chignon serré très stricte, et s'installa à une table. Toujours dans ses pensées, elle fut interrompue par des sanglots.

Relevant la tête, elle eut la surprise d'apercevoir une silhouette dont l'opacité laissait à désirer. Ces sanglots lui rappelait ceux de Mimi Geignarde, l'abominable élève qui chouinait dans les toilettes des filles au second étage de Poudlard. Narcissa n'avait jamais apprécié ce fantôme: elle passait son temps à boucher les canalisations et à pleurnicher, la dérangeant dans ses séances de maquillage et de ragots avec ses amies Serpentards. Aussi, ressentit-elle un certain agacement à entendre les gémissement du fantôme, qui, au passage, ne ressemblait en rien à Mimi. La jeune femme qui se tenait au bar ne semblait pas terrifié par ce spectre: le connaissait-elle ? Narcissa soupira, elle s'en fichait bien ! Un autre client se leva et décida de sortir. Tout comme la blonde au bar, Narcissa suivit cet inconnu du regard et fut plus qu'étonnée de constater que les portes ne s'ouvraient pas. Un petit pincement au coeur vint relancer son angoisse de départ. Que dirait Lucius si elle ne rentrait pas rapidement ? Le fantôme se remit à pleurer de plus belle, gémissant des mots qu'elle ne comprenait pas. Narcissa se leva à son tour, décidant d'aller prêter main forte près de la porte. Après tout, une taverne dans cet état pouvait bien avoir des soucis de porte de temps en temps ... Mais après quelques poussée, elle fut bien obligé de reconnaitre que l'entrée était verrouillée.

La tête de Sanglier était pleine à craquée. Qu’est ce qui m’avait pris de venir ce soir ? Une impulsion, quelque chose comme ça. Ce n’était pas la première fois que j’agissais ainsi, sous le coup de l’impulsion. Sous le coup d’une envie. Tsukasa était occupé ailleurs, et si à l’origine j’étais censé aller aux Sept Canards pour m’enquérir d’un truc en rapport avec la Confrérie, il n’en demeurait pas moins que finalement… C’était à la tête de Sanglier que je venais d’échouer. Avec un peu de chance j’y croiserais Addison, ou Luka… Une de ces Serdaigles qui n’hésitait pas à sortir la nuit en somme. Quelqu’un que je connaissais ou que… Oh, ça n’avait pas d’importance, il n’y’avait personne en vue, et je m’appuyais au comptoir commandant une boisson qui n’aurait qu’un fade gout.

Les cheveux noués en un catogan derrière ma nuque, un costume sombre, l’air las, je regardais l’environnement du pub. Une femme blonde et plutôt jolie, une serveuse, d’autres soulards qui partageaient une partie de jeu de carte sorcier, la vie suivait son cours d’une manière usuelle. Jusqu’a ce qu’un sanglot ne parvienne à mes oreilles. Au départ je n’y prêtais pas vraiment attention, ne m’en souciant pas vraiment. Un fantôme. Plusieurs. Quelle importance cela pouvait bien avoir ?

Ce n’est finalement que quand un tumulte provint de l’entrée que je me décidais à me lever, lançant un oeil curieux à cette porte qui ne semblait pas s’ouvrir. Ni une, ni deux, j’oubliais ma boisson, et je me tournais totalement en direction de l’animation, bien décidé à en profiter avant peut être d’agir. Après tout… Peut être qu’un coup d’épaule… Oh non. Laissons ces pauvres sorciers se débrouiller tout seul. Et il commençait à être pesant le spectre pleurnicheur.

Siobhàn n'était pas le genre de fille qui noyait son désespoir sous l'alcool tous les samedis soirs. Elle n'était pas non plus du genre à trainer seule dans les bars peu réputés. Elle tenait d'ailleurs peu d'estime pour les saoulards d'une manière générale, et s'il lui arrivait de boire en soirée ou avec des ses amis de manière occasionnelle, jamais il ne lui serait venu à l'esprit qu'elle se retrouverait un jour seule, accoudée à une table dans un coin de la Tête de Sanglier, en train de boire une Bierrobeurre. Mais, comme on dit : à situation désespérée, solution désespérée. Et la situation actuelle était assez désespérée. Sa conversation inopinée avec Kennedy, au petit déjeuner, remontait à seulement quelques jours et elle avait été incapable de se détendre complètement ou même de faire un seul sourire qui ne soit pas crispé à ses amis. Ce samedi, elle avait essayé de travailler, puis de trainer dans la Salle Commune, dans le parc, à la bibliothèque, partout et nulle part elle n'avait réussi à se concentrer sur quelque chose plus de dix minutes. Bien décidée à prendre l'air, elle s'était rendue à Pré-au-Lard et, après avoir fait toutes les boutiques ouvertes, ne restait que les Trois Balais (plein d'élèves à qui elle aurait du parler, et potentiellement croiser une certaine Serdaigle), ou la Tête de Sanglier. Le choix était vite fait.

Notre petite Poufsouffle était donc avachie sur sa table, feuilletant vaguement la Gazette du Sorcier qu'elle avait récupéré un peu plus tôt, en buvant lentement son verre. Le ronronnement ambiant des conversations l'apaisait, et au moins elle ne risquait pas de croiser quelqu'un qu'elle connaissait ici. Alors qu'elle regardait depuis bien cinq minutes, hypnotisée, une photo d'un quelconque ministre qui souriait et lui agitait la main, elle entendit des éclats de voix en direction de la porte. Elle leva paresseusement les yeux, intriguée, et s'aperçut qu'un petit groupe de gens semblait vouloir ouvrir la porte du bar... qui refusait apparemment de s'ouvrir.

Pinçant les lèvres, elle balaya la pièce du regard, à la recherche d'un quelconque évènement qui les aurait tous fait se précipiter vers la sortie, et aperçut un homme, à l'air un peu étrange il faut l'avouer, qui sanglotait non loin d'elle, et, surtout, qui était à moitié transparent. Un fantôme ?! Est-ce que c'était habituel, ça, pour la maison ? Elle ne venait jamais ici et n'en avait donc aucune idée. Mais les clients du bar semblaient pour la plupart assez interloqués. A première vue, il n'avait pas l'air menaçant, mais Siobhàn enfonça la main dans sa poche par réflexe et sa main se crispa sur sa baguette. Elle ne voyait pas pour le moment l'utilité d'aller essayer d'ouvrir la porte. Après tout, elle n'était qu'une gamine, elle ne servirait surement pas à grand chose. Elle décida donc de rester à sa place, mais de garder les yeux fixés sur le spectre, au cas où il déciderait de partir en live. Et elle se mit à espérer que quelqu'un réussisse à ouvrir la porte.

Cet endroit n’était pas de ceux qui accueillaient les pleurnichards… Je savais d’emblée que la plupart des clients présents n’allaient pas paniquer à la vue d’un spectre, aussi plaintif et lourd soit-il. Je ne savais pas trop quoi faire pour faire changer les choses. Je me contentai de lancer un regard aux autres, attendant qu’une chose se passe, espérant simplement que nous n’allions pas rester dans une situation aussi stagnante trop longtemps. C’était probable, mais j’aurais réellement préféré l’éviter car, pour tout avouer, il était assez difficile pour moi de rester calme dans une telle situation… Je n’étais pas issue d’une couche de sorciers puissants, ni même d’une couche de sorciers qui vivent dans les ombres… J’étais une sang-mêlé dont les pouvoirs n’étaient qu’un pur accessoire, si bien que je ne savais pas comment me comporter, et encore moins si j’allais être capable de me défendre si jamais ce fantôme venait à se montrer un peu trop agressif… Il ne manquait plus que ça, un fantôme comme Peeves… Hm.

Peut-être que j’aurais du tenter de communiquer avec le spectre ? Après tout, il s’agissait d’un habitué avant qu’il… avant qu’il ne passe de l’autre côté. J’étais pleine de doutes et je n’osais pas trop entreprendre quelque chose, de peur qu’il m’arrive des bricoles. Je n’étais, quelque part, pas la plus courageuse qui soit… Pas du tout. Mais je n’étais pas lâche, alors je m’approchai du fantôme plaintif et je m’adressai à lui.

« Monsieur ? Il faudrait que… Je… Est-ce vous qui bloquez les portes ? »

La phrase la plus inutile du monde, mais j’avais au moins tenté d’entrer en contact avec le spectre. Je n’avais pas envie d’être là au moment où les sorciers présents s’énerveraient parce qu’ils ne pourraient pas sortir, alors j’avais besoin de tenter quelque chose… un léger sourire se dessina sur mon visage, comme si ce fantôme pouvait le comprendre et le prendre en compte… J’étais très peu sûre de moi.

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La plupart des clients semblent pris d'une soudaine urgence et se dirige vers la porte. Il aimerait tant qu'ils restent et lui offre un peu de soutien. Zelda s'approche de sa table et l'interpelle.

« Que se passe-t-il ? »

Est-ce lui qui bloque les portes ? Elles ont toujours été un peu dure a ouvrir... Il lève la tête vers elle et la regarde d'un air étonné.

« Je n'en sais rien. Je... Je ne pense pas. »

Il tapote ses poches fantomatiques un moment, semblant avoir retrouvé un peu de lucidité, comme cherchant quelque chose.

« Je dois avoir perdu ma baguette quand... »

Soudainement, ses yeux s'agrandissent d'effroi et il se remet à sangloter de plus belle. Sans se rendre compte que sa baguette est sans doute restée quelque part près de son corps.

« Oh mon dieu, c'est horrible ! »

HJ : Je saute le tour de Narcissa, mais elle peut re-repondre dés qu'elle veut bien sur . <3

Les sorciers continuaient de s'agiter devant la porte fermée, et non, je ne voulais pas agir, de toutes les manières que pourrais-je bien y faire ? J'étais la, tel un homme désinteréssé et la de tout, convaincu que les grands sorciers finiraient bien par trouver la solution à leur petite histoire. Ou quelque chose du genre ? Et le fantome la bas, continuait de sangloter.

A nouveau mon regard se posa sur la foule, la serveuse blonde, une autre blonde, une jeune femme assise à une table.... Probablement une élève de Poudlard, et mon coeur se serra un peu, imaginant qu'a sa place il y'aurait pu avoir Addison ou Luka... Cependant ce n'étaient pas elles, et si du coin de l'oeil je veillerais sur la jeune fille, je n'allais pas non plus aller m'installer devant elle pour lui raconter ma vie et lui demander la sienne. Ainsi, la soirée pouvait continuer.

A part bien entendu que les sorciers commencaient à forcer sur la porte, et que le fantome commencait à parler. Je l'ecoutais. D'une oreille distraite... L'homme ne semblait pas savoir qu'il était mort, et puis soudain il se remit à sangloter. Cette fois s'en était trop, et la determination se lisant sur mon visage je me levais, vidant mon verre dont je ne sentais pas le gout et me rapprochant un peu de la scene je soupirais discretement. Pour le moment, je me contenterais d'ecouter, mais si le fantome ou quelqu'un tentait quelque chose de violent, je l'arreterais...

Mais c'était long. Trop long. Et je m'ennuyais déja.

« Que vous est il arrivé ? »

Je ne me sens vraiment pas bien. Un peu comme si j'allais tomber malade ou je ne sais quel autre malheur qui pourrait m'arriver en cet instant... Quand je pense aux clients qui sont coincés ici avec moi et cette chose en cet instant... Je ne devrais pas avoir peur à ce point, je suis une sorcière après tout! Je dois me changer les idées et penser à autre chose... Malheureusement je me sens défaillir au moment où le fantôme prend la parole...Wow, c'est horrible... Je ferme les yeux pendant quelques secondes et j'espère que cela va passer... Au contraire, les choses sont pires une fois que j'ai les yeux à nouveau ouverts...Qu'est ce qu'il m'arrive? Mes mains tremblent tant j'ai peur car j'ignore ce qu'il m'arrive.

Je ne me sens même pas tomber, inconsciente... Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, mais c'est arrivé et, désormais, il va m'être très difficile de faire demi-tour... Si cela arrive, car je ne sens vraiment plus rien et, au vu de la situation, ce n'est franchement pas bon signe.

HRP: et ainsi périt Zelda ;_;

Toute cette histoire de porte verrouillée et de spectre commençait à mettre Siobhàn mal à l'aise.
Elle avait l'habitude des fantômes, à Poudlard c'était monnaie courante après tout, et elle leur tapait même souvent la discute quand elle avait le temps. Au final, à part la première fois où elle en avait vu un et la première fois où l'un d'eux l'avait traversée, les morts ne la perturbaient pas plus que ça. Mais ici, c'était différent. Il y avait quelque chose dans cet homme qui inspirait à l'inquiétude. C'était peut-être tout simplement l'accumulation des sanglots, de la porte fermée et des clients inquiets, mais Siobhàn se voyait devenir de plus en plus nerveuse.

La serveuse du bar essayait apparemment de discuter avec le spectre, mais au vu de ce qu'il lui répondit, la Poufsouffle était sceptique quant à l'utilité d'une telle démarche. Le pauvre bougre semblait à peine se rendre compte qu'il ne faisait plus partie du monde des vivants. Une autre personne s'approcha du groupe et Siobhàn fronça les sourcils en essayant de déterminer s'il s'agissait d'une femme ou d'un homme. Sa frustration se focalisa un instant sur ce mystère et elle était en train de dévisager cette... personne, lorsqu'un autre évènement attira brusquement son attention.

La serveuse qui avait tenté de discuter avec le fantôme venait de s'effondrer.

Siobhàn se leva plus vite que son ombre et se précipita vers la jeune femme avant même de réaliser ce qu'elle était de train de faire.

Mademoiselle ! Mademoiselle !!

S'agenouillant ou plutôt se laissant tomber à côté d'elle, elle se mit à lui serrer les mains frénétiquement en lui demandant d'ouvrir les yeux. Est-ce qu'elle était tombée dans les pommes ? Le fantôme l'avait peut-être effrayée ? Mais tout s'était passé tellement rapidement ! Ou alors est-ce qu'elle était...?

Le coeur battant la chamade, des image des cours de premier secours qu'elle avait reçu durant son enfance défilant sans aucune logique dans son esprit, elle se mit à crier la première chose qu'il lui passa par l'esprit.

UN MEDICOMAGE ! ALLEZ CHERCHER UN MEDICOMAGE !

♦ Gallions : 4137 ♦ Date d'inscription : 22/02/2011

La demoiselle à laquelle il vient de répondre s’effondre, un autre individu lui parle… Comment faire ? Il ne comprend pas, il continue juste à sangloter en répétant « C’est horrible, c’est horrible. ». Soudain, un semblant de lucidité et quelques mots.

«Je suis…mort ! Mort! » Dit-il entre deux sanglots.

Un petit rire nerveux lui échappe et il se met à regarder un peu partout autour de suite pendant quelques secondes, comme pour réfléchir...

« C’était horrible. Dans la cabane… Quelque chose ! »

Et de fondre en sanglots à nouveau, le pauvre spectre faisait sans doute plus de bruit que tous les clients réunis dans l’établissement en cet instant. Les portes toujours bloquée, cette fille qui appelle à l’aide d’un médicomage pour l’autre qui est désormais étendue… Un beau bordel, si l’on peut dire ça ainsi.

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Et le combat cessa faute de combatants...

FIN de l'intrigue. Eden, tu es tout seul à avoir survécu à ça... ._. A toi de voir ce que tu fais. Tu pourra raconter ça a tes enfants *sort*