Lisbeth ♥ When you put your arms around me... (Terminée)

︎ « Richards Lisbeth » Voila... Voila, c'est qui je suis. J'ai présentement 28 ans et je suis sans emploi. Je suis né(e) le 17 août 1947 à Bristol; je suppose qu'on peut donc dire que je suis d'origine anglaise. Mon sang est mêlé et on connait ma famille parce que elle l'a rendue célèbre grâce à sa carrière de joueuse de Quiddich et à ses frasques. ︎ Si je dois vous parler un peu de moi je dirais que je suis pansexuelle et même que je suis en couple avec le reste du monde ? Sinon il se passe un truc hallucinant, on me dit que je ressemble à Scarlett Johanson; et c'est à BADASS HEARD. que je dois tout ça. ︎ Oh sinon moi... J'ai un pouvoir : celui de métamorphomage. ︎ Voldy adore les menottes ! Ah, bon, c'est pas ça ? Enfin ! C'est ce qu'on dit ! Et sinon, moi c'est Myria ♥ et j'ai 19 ans. J'ai connu SW' par Sethen et Aaron et j'ai quelques commentaires. Les voilaaaa !

Ni particulièrement courageuse, ni d'une longue lignée de sang pur, ni studieuse... Elle fut sans surprise répartie à Poufsouffle, la maison de ceux qui ne vont dans aucune maison. Mais aussi, du coup, la maison de tous les originaux, toutes ces personnalités particulières auxquelles personne n'avait pensé. Les premières années, elle ne se fit pas trop remarquer, si ce n'est pas un talent peu commun sur un balais et une bonne droite (ce n'était pas une gamine se laissant embêter facilement), ce qui lui octroya le poste de batteuse dans l'équipe de Poufsouffle. Ses dons de métamorphomage auraient pu la rendre populaire mais ses parents avaient passé son enfance a lui dire qu'elle devait les cacher (principalement parce qu'ils habitaient dans un quartier moldu). Aussi elle les maîtrisait assez pour que ses émotions ne changent plus la couleur de ses cheveux sans son consentement. Etre au centre de l'attention ne lui disait pas tant que ça, à l'époque.

Puis arriva la puberté, les premiers émois de l'adolescence. Les changements dans le regards des autres se firent bien vite ressentir. Cette attention ne lui échappa pas et elle commença très tôt à en profiter. Ses devoirs étaient maintenant corrigés par un Serdaigle particulièrement charmant et elle devint la coqueluche de son équipe de Quiddich. Elle manipulait son entourage pour arriver à ses fins et y prit goût rapidement. Elle adorait autant les avantages que ça lui apportait que les moyens qu'elle utilisait pour les obtenir. Des gestes attentionnés, des baisers chastes, des étreintes passionnées dans une classe vide... Ce fut en sixième année que cela commença à lui jouer de vraiment mauvais tours. Elle avait passé ses buses, avec une réussite correcte, qu'elle devait surtout à des camarades s'étant dévouée pour l'aider à étudier. Elle était capitaine de l'équipe de Quiddich et continuait à rendre des devoirs écrits par d'autres, sans le moindre scrupule. Jusqu'au jour où un professeur, de sortilèges, si elle s'en souvient correctement, s'aperçut que sa copie était presque identique à celle du premier de classe. Elle échoppa d'une série de retenues bien trop longues à son goût. Et puisque le professeur qui s'occupait d'elle était des plus séduisants, pourquoi ne pas lier l'utile à l'agréable et écourtant sa punition en usant de ses charmes ? Ce ne fut pas son idée la plus brillante, mais comment aurait-elle pu deviner qu'il ne s'était jamais marié par manque d'intérêt pour la gente féminine ? C'est ainsi qu'elle se fit renvoyer de Poudlard, rapidement, le corps professoral tentant d'étouffer l'affaire au maximum. Certains n'avaient pas été aussi insensible que leur collègue à la jeune femme et il aurait été fâcheux que cela s'apprenne, n'est-ce pas ?

Ses prouesses sur un balais firent qu'elle trouva rapidement du travail. L'équipe des Flèches d'Appleby fut heureuse de trouver une batteuse aussi douée et aussi charmante. Elle remporta plusieurs championnats à leurs côtés, ce qui lui apporta un peu de popularité et plusieurs interviews. Encore une fois, cette belle aventure eut une fin plutôt brusque, lorsqu'elle fut renvoyée pour "comportement inapproprié". De son côté, si c'était à refaire, elle recommencerait (encore et encore, oserais-je ajouter). Ce n'était pas la première fois qu'elle affrontait les Frelons de Wimbourne et entre les deux équipes brûlaient une rivalité ancestrale et féroce. Son œil acéré n'avait pas manqué de remarquer la musculature alléchante de leur Capitaine qui maniait la batte avec une habileté hors du commun et, si elle n'était jamais passé à l'acte, c'était parce l'un d'eux avait toujours fini sur un lit d’hôpital, victime d'un cognard trop bien placé. C'était la fin de sa troisième année avec Appleby. Après la fin du match, elle attendit une bonne occasion et quand elle fut certaine qu'il était seul dans les vestiaires, elle fit son entrée. Oh bien sûr, ils commencèrent par s'insulter mutuellement au sujet du match, de l'arbitre trop laxiste et de passes peu conventionnelles. Ils faillirent même en venir aux mains, avant de se rendre compte qu'il était bien plus agréable d'apprécier le silence en le scellant d'un baiser. Ou plutôt de nombreux baisers. Lorsque l'attrapeur des Flèches entra dans le vestiaire pour insulter et menacer le Capitaine (pour de vrai, dans son cas), il eut la surprise de les trouver dans une position plutôt compromettante, leurs uniformes éparpillés un peu partout et absolument pas dérangés par son intervention. Prude, l'attrapeur sortit, les joues en feu, prévenir son Capitaine qui renvoya l'impudente peu après, quand elle daigna enfin se rhabiller.

Sans emploi, sans logis, sa famille l'ayant mise à la porte après avoir trouvé un garçon (ou serait-ce une fille ?) de trop dans sa chambre, elle avait alors vingt ans. Elle mena une vie imprévisible mais confortable, trouvant toujours quelqu'un pour l'héberger ou l'engager pour quelques jours, quelques semaines, jamais plus. Puis, suite à une dénonciation, elle fut enfermée à Sainte-Mangouste. Ils lui répétaient qu'elle était malade et que son comportement était la conséquence de cette maladie. On l'isolait des autres patients, elle ne voyait presque jamais personne et, ça, ça la rendait malade. Elle joua le jeu, joua la maladie et la guérison, le plus vite qu'elle pouvait tout en restant crédible, utilisant ses charmes non sur une personne mais sur le système hospitalier au complet. Le jour de sa sortie, elle assouvit ses pulsions qui avait bien trop longtemps attendus avec une infirmière stagiaire puis avec le directeur de l’hôpital. Elle s'en alla, un petit sourire aux lèvres, prête à continuer sa vie et à conquérir le monde.

Lorsqu'elle entendit parler de la Confrérie (c'est fou les milieux auxquels les débauchés peuvent accéder), elle les contacta et fut rappelée presque immédiatement. Elle fut la sage disciple du Luxure de l'époque, jusqu'à ce qu'elle en ait marre que ce soit tout pour lui et rien pour elle. Elle passa la nuit avec lui avant de lui planter un pic à glace dans le ventre. Comme elle l'avait prévu, elle lui succéda, elle jouit depuis de la liberté que lui confère son ordre, ayant enfin, un métier où on ne lui reprochera aucune de ses pratiques...

« SITUATION MAGIQUE
AGE : 28 ans
GROUPE : La Confrérie
METIER / MAISON: Sans emploi

« CARACTERISTIQUES
PLUS GRANDE PEUR & FORME DE L'EPOUVANTARD : Elle a peur de ne plus être attirante, son épouvantard est un miroir où son reflet est on ne peut plus repoussant.
PATRONUS : * A remplir une fois accordé par le staff*
SORTILEGE PREFERE : Elle aime bien le Stupéfix, il n'y a que ça de vrai pour voler des baisers ♥

« POUDLARD  
MAISON  : Poufsouffle
QUIDDITCH  : Batteuse
AUTRE : Capitaine de l'équipe de Quiddich de Poufsouffle.
BUSES : Corrects, même si elle les doit surtout à ses camarades d'études ♥
OPTIONS CHOISIES : Elle ne s'en souvient plus trop...
ASPIC : Elle s'est faite renvoyée avant...  

«  AUTRE
CHOIX 1 :
CHOIX 2 :