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 « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.

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Aliénor de Narsès
« ALIENOR » — Le malheur d'aimer, il est à mon poignet.
Aliénor de Narsès


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MessageSujet: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeMer 26 Fév - 1:23


On respire à peine Juste ce qu'il faut

Parait qu'on est en vie, Et qu'c'est déjà beau On respire à peine Juste ce qu'il faut Pour pas rester sur le carreau. Mais la peine ça se glisse Dans tes souliers. Ça se colle à ta chemise Comme un parfum familier comme du pain d'épice, De la fleur d'oranger
________Pieds et mains glacés Parce que ce foutu sang Hiver comme été circule pas normalement Et reste trop près du cœur Jusqu'à l'étouffement ⊹ Qu'est-ce qu'on deviendrait sans les autres... ? Des gens... Meilleurs ? Des gens... Heureux ? Parce que ce qui donne envie de tuer, c'est bien de voir les autres partout. Pulluler. Des rats d'égouts. Des champignons comestibles. Des bouts de détritus, traînant le soir dans les ruelles, qui ne demandent qu'à être exécutés. Si personne n'existait, le monde serait mieux. En même temps, si personne n'existait, y'aurait personne à tuer. A défaut de tuer les gens, je me serais tuée moi-même, mais de toute façon, je ne serais pas née. Un matin, j'me suis réveillée la tête à l'envers. Elle n'est jamais à l'endroit. Oui, et alors ? Un soucis avec ma tête ? Elle est sublime ma tête. Chut, on se tait à présent. Un regard vers la fenêtre. Dehors de la pluie qui tombe. Le ciel il pleure. Le ciel est triste ? Mais le ciel, j'm'en fous. Alors je me lève, nul besoin de soleil. Une ampoule brisée au dessus de ma tête, lumière artificielle je me passerai de toi. Je m'habille. _Tant qu'à faire, j'aime pas la nudité. J'enfile mes bottes en cuir _Toujours le cuir, c'est chic. , et une chemise attrapée au hasard. La première qui passe, hop j'la chope. La chemise. Bref. Vêtue, je me jette sur la porte, et l'ouvre. Bisou au chat noir qui me miaule après. Bisou... Bisou si on veut quoi. Bisou-mangemort. Claquant la porte derrière moi, je marche sous l'averse, sans capuche, sans parapluie, SANS CHEMISE, SANS PANTALON. Oups. Sans pantalon, oui, parce que voyez-vous j'ai mis une jupe. Bon enfin là n'est pas l'intérêt du RP.

________Ce matin, je n'ai pas envie de tuer. En tout cas... Pas trop. Je me sens d'humeur à laisser les gens vivre avec une jambe ou un oeil. Muh... Oui. Allez, ce soir, je ne tue pas trop. Juste un petit peu, histoire de. Mais avant que la nuit tombe, il me reste la journée à survivre. Ma maison est un petit peu à l'écart du peuple, dans une ruelle vraiment très peu fréquentée, comme beaucoup de mes comparses. On est quand même en planque. Enfin bon, comme j'aime la marche, ça ne me dérange pas. Sur le chemin, je regarde mes pieds. C'est un jeu. Le premier connard dans lequel je rentrerai, ce sera lui que je mutilerai. A la limite je pourrais tirer au sort. Pile je lui arrache un oeil. Face je lui arrache autre chose. La langue voyons. Pas d'idées déplacées. Moi je suis chaste. ... Et passa la blanche colombe. --- Breeeef. Oh... J'arrive au centre. Personne ne m'a bousculée. Personne ne m'a croisée. C'est la faute à pas'd'chance. Tant pire. Euh tant pis. Bon et ben... Je vais me contenter de doloriser un passant lambda. Le premier. Allez le premier. Ah non je ne peux pas. Il fait un peu trop jour pour ça. La pluie n'a pas éteint totalement le ciel. Il reste de la lumière en l'air. C'est pas grave. Je ferai ça plus tard. A moins que je ne rejoigne Bellatrix... Elle a toujours envie d'un petit massacre en réunion. Pourquoi pas. Nous verrons. Pour l'instant, je suis gentille. Je suis... Discrète. Je reste en retrait. En fait, c'est normal qu'il n'y'ait pas grand monde dans les rues, il pleut comme mouton qui pisse. #Je sais que ce sont des vaches qui pissent, mais j'aime mieux les moutons.# Au final, pendant que je ... Philosophais intérieurement sur la place des moutons et des vaches dans la société, quelqu'un me heurta violemment. “ SAPERLIPOPETTE ! ”  AH ! ... Ah... Je dois être gentille. Le maître n'aime pas quand je me fais trop remarquer. Il ne faut pas que l'on connaisse trop mon visage... Un p'tit peu siouplait ? Moi j'aime pas être sage. Pourtant j'obéis. Ah ça oui, croyez-moi, j'obéis. En plus pour l'instant, les aurors me fichent un peu la paix. Bien que... ALLEZ. Tant pis je m'auto-autorise à le torturer celui-là. Auto-autorise. Pas mal hein comme mot ? Bon. Un petit lévicorpus pour la forme et un doloris pour le fun. Sauf qu'en voyant le visage de celui qui avait osé me renverser, je me stoppe. Mon visage devient livide, mes yeux s'éclairent. De folie ou de nostalgie. Une fille. Une femme. Une blonde aux reflets roux, des boucles qui retombent sur des épaules dénudées, une robe d'été en hiver. Elle était toujours aussi jolie. Mais elle avait cet air toujours piteux, cet air toujours perdu, ce regard bleu ciel, sombre et perçant. Son habitude de folle furieuse. Elle était violente, et j'aimais ça. Un retour en arrière. Un train pour le passé. Je suis restée à la gare. Et dire... Qu'on avait été amies. Mais elle me regardait de ses yeux de chtarbée hagarde, cette petite psychopathe, une des plus immorales. Elle était restée parmi nous. Elle était parmi nous, mais je ne la remarquais plus. Je ne la regardais plus. Quelque chose l'avait fait décrocher. Un jour, à une réunion je l'ai croisée. Mais elle m'a fuie. La parole, elle ne me l'adressait plus. Elle participait parfois aux missions. Parce qu'elle continuait à obéir, même si la rébellion l'avait toujours tentée.

________Hey... Pourquoi tu ne me parles plus ?

________“ Juliet ? ” Demandai-je en abaissant ma baguette. Elle avait l'air encore plus strange que d'habitude. Elle ne me répondit pas et roula ses yeux comme deux boulards. (Vous savez ces grosses billes qu'on collectionne et qu'on lance sur toutes les autres.) “ T'as fumé ou quoi ? ” Toujours pas de réponse. Ok là je vais m'inquiéter. “ Fais voir ta langue. ” “ Tais-toi Aliénor. J'ai toujours une langue, et j'ai aussi une baguette si tu continues je te fais manger la tienne. ” Voilà, je préfère. Rire sarcastique de ma part. Elle, en revanche, ne sourit pas. Tant pis je m'en fous en fait. “ J'ai la peste ou quoi ? ” “ J'ai pas forcément envie de te parler. On peut pas dire que tu peuples mes nuits. ”  “ Tu me vexes là. ”  Nouveau petit rire. Je sais que nous avons un passé ... Plutôt houleux toutes les deux. Je l'ai torturée. Je l'ai blessée. Je l'ai humiliée. Mais l'humiliation, elle connaissait avant moi. Malgré tout, je me souviens de quelque chose... Un souvenir qui me revient les soirs où je me sens plus seule que jamais. Cette nuit d'horreur où nos chemins s'étaient croisés par hasard,... A la suite du carnage d'une auror... Trêve de nostalgie. “ Toujours prostituée ? ” Lançai-je en posant ma main sur son épaule. Non, je ne suis pas blessante. C'est dit en toute amitié. Après tout, je la plains plus qu'autre chose. C'est une pauvre fille qui essaie de vivre. Elle leva les yeux au ciel avant de lever un sourcil désapprobateur.

________“ Allons, allons. C'était pour rire. (Je sais c'est pas drôle.) Viens, le lampadaire n'éclaire plus par ici. C'est toujours mieux de se voir pour parler. ” Surtout quand il s'agit de nous, parce que nous sommes des traîtresses et qu'il nous faudrait un instant, une seconde pour dégainer nos baguettes sous le coup d'un mot de trop. Faudrait pas qu'il y'ait un accident. Un Avada est si vite prononcé. Devant le presque mutisme de Juliet, je soupire de lassitude. Ellem'énerveunpeuEllem'énerveunpeu. Je la guide vers le réverbère suivant, elle me suit docilement. En même temps elle suit tout le monde, surtout quand on paye. ... Non pardon, c'était méchant, ça se fait pas. Je la respecte quand même... Un petit peu. Et puis c'est l'une des nôtres. “ Des nouvelles de la belette ? ” Une belette... Jaune... Un peu poussin. Une brune un peu molle. Un peu con aussi. Oups pardon, respect. C'était une copine de copine. ... Je m'exprime bien, je sais. Disons plutôt que nous avions été amenées à la croiser quelques fois. A vrai dire, moi je me fiche d'elle, mais Juliet l'aimait bien, allez savoir pourquoi. Elle avait des côtés sympas. Pas beaucoup. Mais enfin. C'était surtout sa mère que je cotoyais. Bref je raconte pas ma vie. “ Elle est morte. ” Répliqua Juliet d'un ton froid. HUHUUU ? “ Mais non ducon. Elle est vivante. Si on veut. C'est d'elle dont tu veux des nouvelles ou c'est de... ? ” Posant mon index sur ses lèvres je lui coupe la parole. “ Chut. Ne parle pas d'elle. Je te l'interdis. ” Les murs ont des oreilles Juliet. Ne me dis pas que tu l'as oublié. Je n'ose pas mentionner l'autre... Oui je dis l'autre... Celle qui concerne Juliet. Mais je me tais parce que je ne l'aime pas. Elle est tout de même contre nous. Cela dit... Je pourrais comprendre, parce que... Mais en fait non. “ Juliet, c'est pas que je ne t'aime pas, ... Mais je vais m'éclipser. La prochaine fois, ... Champagne. Je crois me souvenir que l'ivresse t'allait bien au teint. ” Je suis désolée, je ne peux pas m'empêcher d'être salope par moments. Roh, mais c'est une blague. Et Juliet l'a comprise, parce qu'elle m'adresse un sourire ironique avant de me foutre une baffe affectueuse. (Oui, nous nous déclamons notre amour en nous tapant dessus, c'est une coutume.)

________Une fois la putain... Euh la charmante jeune tueuse d'enfants, partie, je me retrouve une nouvelle fois seule sous la pluie. Enfin seule... Pas pour très longtemps j'espère.

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Aaron D. Rembrandt
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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeMer 26 Fév - 2:05



On respire à peine Juste ce qu'il faut  


Londres. Un soir d’été. Oui je sais j’habite a Oxford. Mais le propre d’une famille de sang pur c’est d’être invité par d’autres familles de sang pur. Il fallait entretenir de bon liens avec les grandes familles. C’était ça que voulait mes parents. Mais moi je m’en moquais. Et je m’en moquais depuis peu. Ca faisait quelques mois en fait. J’etais devenu un vampire. Mais ça personne ne le savait. Personne dans ma famille a part moi. Et puis je ne le dirais a personne. Surtout pas avec une mere et un père qui detestaient les créatures magniques. Bref on était arrivé en fin de matinée.

C’était une belle et grande baraque. On avait droit a une chambre d’ami chacun. Le grand luxe je vous dis. Et quelque part tant mieux. J’aurais pas supporté de partager une chambre avec mon frere. Tout simplement parce que je n’aurais pas pu m’echapper pendant la nuit pour me nourrir sans qu’il ne le remarque. Et donc par conséquent j’aurais fini par le bouffer. D’ailleurs quand on avait visiter le manoir on nous avions été généreusement invité j’avais soigneusement observé toutes les échappatoires afin de trouver un endroit par u m’echapper cette nuit. Ca allait être un peu compliqué. Mais soit je me demerderais.

Le soir venu le repas  fut … Très long et tres chiant. Faire semblant de manger était devenu un calvaire mais je n’avais pas eu trop le choix. Pas d’échappatoire cette fois. Je mangeais en tentant de ne pas montrer mon degout face a toute cette nourriture qui n’avait plus de gout. Puis vint l’heure de dormir. L’elfe de maison nous accompagna jusqu’à nos chambres eclairé par la faible lueur d’une bougie. Moi ça me donnais envie de lui foutre la trouille de sa vie mais je ne bronchais pas. Pas envie de me faire remarquer surtout que quelques heures plus tard j’allais tenter de faire une escapade dans Londres.

J’avais bien attendu que tout le monde soit endormi. C’était long. C’était chiant. Et ma soif de sang ce faisait ressentir plus que jamais. Il fallait que je m’echappe ou demain matin je sauterais a la gorge du premier venu. Et je savais que si ma merveilleuse famille decouvrait mon etat elle risquait de mettre rapidement fin a mes jours.

J’avais deux solutions. L’une etant de sortir par la fenetre en de decendre par la facade. Vu que c’était une maison assez vielle je pouvais tenter le coup. J’avais vu plein d’endroits ou m’accrocher pour descendre progressivement et ce n’était pas comme si je pouvais mourir d’une chute. Si tôt pensé si tôt fait. Me voila a descendre par la fenetre. J’avais manqué de tombé deux ou trois fois mais j’avais reussi a atteindre le sol. Escalader le portail fut plus facile. Et Londres était enfin a moi. J’avais réussi a attraper un espece de mulot au passage. Ca ne suffirait pas a calmer ma soif de sang bien sur mais ça m’aidais au moins un peu. Et j’arpentais les rues de la ville en me demandant si je pourrais faire ma premiere victime humaine. Non c’était trop risqué. Bien trop risqué. Mais il n’empeche que j’avais faim et mes yeux brillaient d’une etrange lueur. Il pleuvait ce soir la mais c’était pas comme si ça me derangeais. De toute façon vu ma soif je pouvais reperer l’odeur du sang a des kilometres.

D’alleurs en parlant de ça c’est au detour d’une ruelle que je venais de croiser une femme aux allures inquietantes. Pas qu’elle me faisait peur … Je ne devais pas franchement avoir l’air tres avenant non plus … Non je devais même avoir l’air flippant moi aussi. Mais celle la c’était pas une brebis égaré ça ce voyait. Non un truc me disait que c’était elle qui les mangeait les brebis
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Aliénor de Narsès
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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeMar 4 Mar - 18:02


On respire à peine Juste ce qu'il faut

Parait qu'on est en vie, Et qu'c'est déjà beau On respire à peine Juste ce qu'il faut Pour pas rester sur le carreau. Mais la peine ça se glisse Dans tes souliers. Ça se colle à ta chemise Comme un parfum familier comme du pain d'épice, De la fleur d'oranger
________Pieds et mains glacés Parce que ce foutu sang Hiver comme été circule pas normalement Et reste trop près du cœur Jusqu'à l'étouffement ⊹ Juliet étant partie... Je me retrouvais seule. Éternellement seule. Il n'y'a pas que les mangemorts qui sont seuls. Tout le monde est seul. Tout le monde le sera, pour toujours. Les autres, l'amitié, l'amour... Ne sont-ils pas de simples distractions, des imaginations, des tortures d'esprit... ? Ils n'existent pas en vrai. Pas vraiment. Les amis ne servent à rien. Ils sont juste... Factices. Le seul sentiment vrai dans ma vie c'est... Je ne dirai rien. Je ne dirai jamais rien. Parce que j'ai promis de ne plus jamais employer le mot Aimer. Parce que j'ai promis de ne plus jamais prononcer ces mots avec les yeux étoilés. Pourtant, que serais-je sans... Ces mots. Que serais-je sans cette phrase. Mais trêve de sensiblerie. Je suis une mangemorte. Je suis une méchante. Je ne dois pas ressentir autre chose que de la haine et du mépris. Il faut que je reprenne les choses en main. Non, plus exactement, mes sentiments en main. Parce que le reste je le contrôle. Je suis forte. Je suis... Forte... Je ne faiblis jamais. Je ne tombe jamais à genoux. Je ne me perds jamais... Jamais en souvenirs... Jamais je crois. Et malgré tout, pourquoi me sentais-je vide à cet instant où le noir s'installait encore plus, dans la ville et dans mon coeur. La solitude c'est propice à la réflexion. Et moi quand je réfléchis, je ne me sens pas forcément très bien après. Bon. Allez. Il faut que je trouve quelqu'un pour me divertir un peu. Je me ramollis.

________Et là... Au coin de la rue, comme par hasard, - le hasard fait bien les choses hein - Je tombe sur quoi ? Quelqu'un. Un petit blondinet. Fade. Avec un regard assez angoissant, mais rien ne m'angoisse moi. Il se retourne vers moi. Il me regarde. Oh... Je dois me retourner aussi du coup ? Soit. Je me retourne. Et je le fixe. Ah en fait... Vu de près il est plutôt séduisant. Un peu jeune pour moi. Quoique... Non mais chut je rigole. Moi je suis fidèle. Fidèle au seigneur des ténèbres, fidèle à mon serment, fidèle aux yeux gris. Fidèle à beaucoup de choses.

________Alors je m'approche, parce qu'il s'est arrêté devant moi. Quoi ? Je sais que je suis belle mais arrête de me regarder comme ça. Personne n'a le droit de me regarder. Personne sauf... Ceux qui ont les yeux gris. Parce que j'aime le gris. J'aime le noir. J'aime le rouge. Alors méfie-toi petit prince, tu es joli mais ça ne m'empêchera pas de te malmener si tu continues à m'observer “ Baisse les yeux. Baisse les yeux tout de suite. ” Lançai-je en le fusillant du regard. De ma main droite, je touche ma baguette. Je ne la sors pas, mais ça me tente. Après tout... Je n'ai pas eu ma dose de carnage ce soir. Je ne suis maintenant qu'à quelques centimètres de lui. Je le vois de haut, parce que je suis grande et surtout parce que je le méprise. Je méprise tout le monde. En fait... Quelque chose me dérange. Il ne ressemble pas à ces autres gosses aux cheveux de blé qui ont eu le tord d'un jour croiser mon chemin. Non. Celui-là parait... Plus intelligent. Plus fort. Plus... Spécial. Plus flippant. Je suis intriguée. La curiosité me prend les tripes. Non, c'est décidé je ne le tuerai pas. Il me plait bien ce lapin blond. D'un geste rapide, je pose ma main sur son épaule en souriant d'un sourire qui se voulait non-psychopathe. Je ne voudrais pas l'effrayer. Je veux en savoir plus. “ Pourquoi diable te promènes-tu dehors à cette heure-ci... ? Et surtout, sans personne pour te protéger des autres ? ” Profonde inspiration. “ Parce que tu le sais... Les autres sont méchants. ”

________Je promenais ma main dans son dos, griffant un rien ses vêtements. Je n'ai pas des griffes de chat, mais j'ai des griffes quand même. Avançant mon visage du sien, j'hume l'air en fermant les yeux. Muh. ça sent... Le garçon. La jeunesse. Et en même temps... Quelque chose d'autre. Je ne sais pas ce que c'est, mais il n'a pas l'air d'avoir peur de moi, et c'est surtout ça qui me perturbe. Hey, petit, si je te tape, est-ce que tu ne me craindras toujours pas ? Voyons ça. Et joignant le geste à la pensée, je saisis son poignet et le retourne un peu, juste pour voir jusqu'où on l'entendrait crier. “ Je n'aime pas qu'on me regarde, petit prince. ” Riant bruyamment, j'attendais sa réaction. De ma baguette que je commençais à dégainer de ma main libre, je m'apprêtais à viser son visage.

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Aaron D. Rembrandt
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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeMar 4 Mar - 19:24



On respire à peine Juste ce qu'il faut  


Oh je n’etais plus tout seul. Qui pouvait trainer dans une ruelle comme ça a cette heure ci ? Elle avait par l’air d’être le mendiant du coin. Ni une voleuse et ce n’était pas non plus une catin (Julieeet ? ) allez savoir ce qu’une femme comme elle pouvait faire ici. J’en savais rien. Elle était trop bien vetu et coiffée pour être une alcoolique aussi. Une criminelle ? Peut être hein. Apres tout c’était possible. Mais elle n’avait pas de chance. Vraiment pas de chance. Si elle voulait tuer quelqu’un elle tombait mal. J’etais déjà mort en quelque sorte. Enfin peut etre qu’elle avait le même délire malsain que ma mère. Peut être qu’elle pensait que toutes les créatures magiques devaient mourir ou quelque chose comme ça.  

En tout cas difficile de la lacher du regard, surtout avec ses yeux clairs. Oui il faisait nuit mais je pouvais la discerner distinctement dans le noir. Pour elle c’était probablement un peu plus difficile. Mais bon nous etions tout de même eclairé par les faibles lueurs de la ville. Et je crois qu’a force de la regarder je commençais a lui taper sur le système. Elle m’ordonnait de baisser les yeux. Ce que je ne fis évidemment pas. Non je commençais a peine a trouver la situation interessante alors avec le plus grand calme je demandais :

- Pourquoi ? Sinon tu vas me tuer ?

Ma voix était tintée d’ironie. Comment on peut tuer quelque chose de déjà mort … Moi j’avais bien ma petite idée. Je connaissais les façons de tuer un vampire sur le bout des doigts. Pareil pour les loups garous.  Les joies d’avoir une famille de fou je suppose. En tout cas j’avais suscité la curiosité chez la jolie ténébreuse. Pourquoi est ce que j’etais dehors. Je suppose que si je lui repondais la vérité ça ce retournerais contre moi … Et puis j’avais pas eu le temps de repondre. Elle s’approchait de moi encore plus en me griffant joyeusement. Heureusement que j’avais des vêtements. Quoi que ...

- Tu fais partie des méchants je suppose.

Moi aussi. Enfin la pour l’heure elle avait reussi a m’attraper et a me tordre legerement le pognet. Je poussais un grognement de douleur. Elle ne me l’avais pas cassé c’était déjà ça. Comment est ce que j’expliquerais mes blessures quand je reviendrais a ce foutu manoir … Oh je … Verrais bien. Mais je crois que a force de jouer la provocation a Poudlard ca me jouais des tours. Je continuais a regarder la jeune femme qui …. D’ailleurs était encore plus jolie en mode psychopathe. Je passais doucement ma main libre sur la sienne en l’effleurant doucement avant de lui susurrer un sourire aux lèvres :

- Désolé mais c’est difficile de detourner le regard de quelqu’un d’aussi agréable a regarder.

Il faisait nuit. J’etais a Londres et … Oui fallait bien que je profite de la situation d’une façon ou d’une autre.


Dernière édition par Aaron D. Rembrandt le Mer 5 Mar - 0:38, édité 1 fois
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Aliénor de Narsès
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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeMar 4 Mar - 20:15


On respire à peine Juste ce qu'il faut

Parait qu'on est en vie, Et qu'c'est déjà beau On respire à peine Juste ce qu'il faut Pour pas rester sur le carreau. Mais la peine ça se glisse Dans tes souliers. Ça se colle à ta chemise Comme un parfum familier comme du pain d'épice, De la fleur d'oranger
________Pieds et mains glacés Parce que ce foutu sang Hiver comme été circule pas normalement Et reste trop près du cœur Jusqu'à l'étouffement ⊹ Il ne baissait pas les yeux. Nos regards s'affrontaient. Mais le mien était plus clair que le sien. Le mien se voyait davantage dans le noir. Je commençais à le trouver intéressant. Il ne me craignait pas. Il ne craignait pas l'obscurité de la rue, ni le froid qui nous glaçait les os. Je crois qu'il ne craignait pas grand chose, il devait me ressembler un peu. “ Qui sait. ” Répondai-je à sa question insolente. Oui je te tuerai peut-être. Non je ne te tuerai pas. Qui saura, qui saura. Tu peux courir si tu veux, j'aime la course à pied. J'aime courir après les gibiers. Parce que j'aime les essouffler. J'aimais son impertinence, elle me rappelait la mienne à son âge. Je le griffais doucement, il ne cillait pas. Ses réactions, je ne les attendais pas. Et c'était sans doute ça qui me faisait vibrer à l'intérieur. J'aimais ne pas savoir à quoi m'attendre.

________Je souriais de toutes mes dents, non pour essayer de lui faire peur, mais parce que la situation ne me déplaisait pas. Enfin, elle ne me déplaisait pas jusqu'à ce qu'il se mette à caresser ma main en me sortant d'une voix enjôleuse cette phrase que je n'aimais entendre que d'une seule. Mon sourire se dissipa. Inconsciemment, je repensais... A certains évènements, à certains mots, à certains sourires... A certains coeurs qui battaient loin de moi. Et parce qu'ils battaient loin de moi, j'avais le droit de tuer des gens. J'avais le droit de tout faire, même si c'était mal. Parce que personne n'était là pour me dire d'arrêter. Pourtant pour ces coeurs, j'aurais été capable d'arrêter. J'aurais été capable de tout, même de mourir. Mais passons. Tout ceci ne vous regarde en rien. Tout ceci ne regarde que moi... Moi et mon coeur. Mes coeurs. Deux battent en moi. Celui qui hait, celui qui aime. Celui qui prie, celui qui tue. Celui qui pleure. Celui qui rit. Parce que je n'ai rien oublié. Parce que tout est resté. En moi. En elle. En lui. Parce que rien n'est parti. Tout est collé à ma peau, à ma mémoire. Le parfum des jours passés, les moments qui se sont perdus, le froid des ruelles, le gris des pavés. Le gris des larmes. Le gris des yeux. Je devrais me taire. Je ne dois pas parler de ça. Je ne dois pas penser ça. Je dois me concentrer sur ce que je suis en train de faire. Je dois venger cet affront qui m'est fait. Ce gamin qui m'observe. Ce gamin qui me nargue. Qui me touche. Jamais personne n'a osé me faire ça. Jamais personne n'a osé me... “ Je dirais que je ne fais pas partie des gentils. ” Rétorquai-je en relâchant son poignet brutalement. “ Diffindo. ” J'avais visé son torse. Mais je n'y étais pas allée très fort. Rien de plus qu'une égratignure. Puis, l'attrapant par le bras afin de le redresser sans délicatesse, j'approche ma bouche de son oreille pour lui murmurer des mots tendres tels que “ La prochaine fois, je toucherai ton visage. ”

________Je le lache, esquissant malgré moi -ou pas.- un sourire de plaisir, avant de prendre sa main dans la mienne. “ Si tu étais arrivé cinq minutes avant dans cette ruelle, tu aurais eu beaucoup plus mal. ” Je songeais à Juliet. Elle, elle lui aurait fait manger ses ongles un par un. Un peu folle, mais j'arrive en deuxième. Bref, on n'est pas là pour le concours de la plus chtarbée du gigot. De toute façon, Bellatrix nous bat toutes. C'est sans doute parce qu'elle... Elle n'a aucun point faible. Nous...

________Je vais l'aider à se relever, tiens. Pourquoi ? Parce que j'ai envie. Vous êtes cons parfois. Sauf que j'ai une façon un peu violente de relever les gens. Brutalement je lui prends l'avant-bras et je le soulève pour l'attirer jusqu'à moi. “ Reste avec moi p'tit prince. ” Cette fois ma voix est plus douce. Mais je garde dans les yeux mon étincelle de folie. J'aimerais lui tordre les membres, mais je me retiens parce que j'aime bien sa tête. Et puis il a du caractère. C'est rare chez les jeunes de son âge. Respect. Lentement, je passe ma main dans ses poils de tête. (Les cheveux pour ceux qui ont pas compris.) Oui des poils de tête. Pourquoi pas ? Bref, Tiens y'a des pellicules. J'RIGOLE. Bien coiffé petit prince. Pouf, t'es décoiffé. “ Comment tu t'appelles ? ” Demandai-je en laissant mes ongles griffer sa nuque.

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Aaron D. Rembrandt
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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeMar 4 Mar - 21:04



On respire à peine Juste ce qu'il faut  


Je jouais a un jeu dangereux … Je le savais. Je le sentais. Mais c’était grisant comme sensation. Vraiment. C’était encore mieux que ce que je pensais. Mon regard ne lachais pas le sien. Je lui demandais si elle allait me tuer.  C’était ma premiere provocation. Mais pas la derniere. Et sa reponse me fis sourire. Ca ne lui plairait probablement pas mais je n’en avait rien a faire. Elle pouvait essayer. Enfin tant qu’elle ne tentait pas de me cramer. Est-ce que l’avada m’arracherait la vie ? Non tout ce qu’il pouvait faire c’était d’arreter de faire battre mon cœur. Et mon cœur il ne battait plus depuis un moment.  Alors on verrait bien. C’était pas ses ongles qui allaient venir a bout de moi. Aussi tranchant soit il. Enfin sauf si elle avait envie de venir a bout de moi autrement qu’en me tuant.  La … Elle aurait surement une chance.

- Tant mieux. Je n’aime pas les gentils.

Et j’etais sincere. Je n’aimais vraiment pas ça. Il suffisait de voir mon comportement avec les élèves de Poudlard. Je les ridiculisais. Ca me faisais rire de voir la souffrance dans leur yeux. Si j’avais pu le faire sans conséquences j’en aurais tué quelques-uns.  Elle avait fini par me relacher. Et j’eu a peine le temps de faire naitre un sourire satisfait sur mes lèvres qu’un sort fusa et me toucha au torse. En plus d’avoir reussi a déchirer mes vêtements elle avait reussi a me faire une entaille et … Oh du sang … J’avais poussé un « argh » de douleur avant de tomber a genoux au sol. Sauf qu’elle venais de me redresser avant de me murmurer qu’elle viserais mon visage la prochaine fois.

J’etais resté silencieux et je venais de poser mes doigts sur ma blessure et de regarder le liquide couleur vermeil sur mes doigts. J’avais la tête qui tournait. J’avais faim. Fallait que je me contrôle. Je lechais doucement le sang sur mes doigts en ecoutant ses remarques:

- Oh vraiment … ?

Tiens elle m’aide a me relever encore. Qu’elle est mignonne je me retrouvais attiré a elle alors qu’elle m’avais attraper par le bras. Nouveau sourire de ma part. Je devrais peut etre pas sourire. Mais j’y pouvais rien. Rester avec elle ? J’y comptais bien. Qui voudrait fausser la compagnie d’une femme comme ça ? Pas moi en tout cas. En plus c’est quelle me donnait de drôle d’idée a maintenir comme ça et a me parler avec cette voix :

- Je reste, je reste en plus je suis bien la.

En plus j’avais un bras libre. Je le bougeais doucement. Non mon but c’était pas de m’echapper. Ni de lui donner un coup. Non je voulais juste faire glisser mon bras libre autour de sa taille et qu’elle me voit bien faire. Elle faisait des menaces ? Elle avait droit a tout autre chose. D’ailleurs elle me demandait mon nom. Et c’est dans un leger rale a cause de ses griffes que je finissais par prononcer :

- Aaron … Et toi ?

Ma main s’aggripa doucement a sa taille. Bah oui si elle voulait je pouvais l’aider pour qu’on soit plus prêt. C’était pas un probleme.

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Aliénor de Narsès
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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeJeu 6 Mar - 3:45


On respire à peine Juste ce qu'il faut

Parait qu'on est en vie, Et qu'c'est déjà beau On respire à peine Juste ce qu'il faut Pour pas rester sur le carreau. Mais la peine ça se glisse Dans tes souliers. Ça se colle à ta chemise Comme un parfum familier comme du pain d'épice, De la fleur d'oranger
________Pieds et mains glacés Parce que ce foutu sang Hiver comme été circule pas normalement Et reste trop près du cœur Jusqu'à l'étouffement ⊹ Plus les minutes s'écoulaient, plus nous devenions proches. Proches... En geste. D'âme à âme, d'esprit à esprit, non. Il ne faudrait pas pousser mémé. Bref. Son sourire me fit sourire. Curieuse formulation, mais voilà. Pourtant quelque chose commençait à exaspérer la folle en moi. Cette folle qui disait 'Achève le, Achève le' en mon for intérieur. J'aurais pu l'écouter. J'aurais pu lui offrir le coup fatal avec ma baguette. Enfin je crois. Mais je n'en fais rien, au contraire, je l'avais aidé à se redresser. Il me disait qu'il n'aimait pas les gentils. Eh bien, ça tombe bien, je suis une des pires qui soient parmi les méchantes. Et en même temps... La faiblesse humaine commençait à se voir en moi. Je commençais à devenir... Quelqu'un d'autre, juste pour les yeux d'une fille. Mais je continuais à servir le maître. Je continuerai jusqu'à la fin de ma vie. C'est mon destin scellé. La vie paraît plus simple quand on n'a personne à aimer. Enfin bon...

________Le gosse continuait. A sourire. A me regarder. A flatter mon égo. Oui je sais que je suis belle et que je suis objet de désir chez beaucoup d'hommes. Aherm. Il lécha son sang. J'en aurais bien fait de même, mais je ne passe pas ma langue derrière la langue de quelqu'un d'autre. Fin je veux dire, si une langue est passée par là, je ne... Hum, je vais me taire d'accord ? “ Je ne t'ai pas fait trop de mal j'espère. ” Mini sourire narquois. Je le nargue un rien. Doucement, je m'approchais de lui, comme une vipère entoure sa proie. Parce qu'au fond, c'était bien ce que j'étais. Une belle vipère aux yeux clairs. Ainsi donc, il s'appelait Aaron. Joli. Très même. Enfin, je crois qu'il y'avait un Aaron dans ma famille, dans une branche assez lointaine et... Raconte pas ta vie vieille conne. Aherm allez chut. Oui je suis aussi schyzophère et alors ? Scyzophrène on dit Aliénor. Sckyzo.... Je ne sais plus l'écrire, ça vous pose un problème ? Allez, on va aller dormir parce qu'il est l'heure.

“ Je m'appelle... Oh et puis... Tu n'as qu'à deviner. ” Dis-je en posant ma tête sur son épaule. Je crois que vu de l'extérieur, nous devions avoir l'air de deux cinglés. Surtout moi à vrai dire. Lui,... Lui parce qu'il ne fuyait pas. Après tout, c'est marrant les devinettes. Certes, Aliénor ça ne se trouve pas tout seul. Il faut connaître. “ En attendant, tu peux me trouver un nom qui te plaira. ” Je le fixe de mes yeux bleus. J'ai envie de jouer un peu. “ Attention toutefois. Si le prénom me déplaît, j'ai le droit de te blesser un peu plus. ” Oui ! C'est confirmé, je suis un peu chtarbée. Mais sans folie, pas de raison.

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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeJeu 6 Mar - 11:16



On respire à peine Juste ce qu'il faut  


Y’a même pas un an j’aurais surement réagit autrement. J’aurais surement été moins provocant. Mais voila quelque chose avait changer  en moi. Je n’etais plus le petit con de Serpentard qui pouvait hurler son nom pour se defendre. Ce nom n’aurait bientôt plus de signification. J’finirais comme ma très cher sœur a fuir ou … Pire encore. Alors pour l’heure j’avais envie de m’amuser avec cette inconnue. Qu’elle puisse me tuer ne me faisais pas grand-chose. Je n’avais même pas l’estomac noué a l’idée de souffrir ou de mourir. Non j’avais juste envie d’en rire. Alors je jouais. Avec le feu. Avec la femme en face de moi. Ca je savais faire. Et que ça marche ou pas peu importe n’est ce pas ?

Mignonne. Elle l’était presque s’il n’y avait pas cette drôle de lueur dans son regard. Belle elle l’était indegnablement. L’illustre inconnue me demandais si j’avais mal … Est-ce que j’avais mal en fait ? Oui … Mais depuis que j’etais un vampire tout ce que je pouvais ressentir était different. La douleur était la mais … ça pouvait être pire. Bien pire. Je me mit a rire doucement a sa question en agrippant la prédatrice. Eh …. D’habitude c’était mon rôle. La roue venait de tourner ?

- J’ai connu pire on va dire.  Et je pense qu’il y a des souffrances qui valent la peine d’être endurés.

Je ponctuais ma phrase d’un sourire charmeur.  Je lui avait dit mon nom … Elle ne m’avait pas mit le sien. Elle voulait jouer. Des devinettes. Je devais trouver son prenom ? Ca aurait pu être marrant … Si j’avais une chance de gagner. Mais elle m’offrait une alternative. Lui trouver un nom. Nouveau rire de ma part. Ca me plaisais. Ouais ce jeu me plaisais.  L’odeur du sang me faisais tourner la tête. Il fallait que je me contrôle. Que je n’y pense pas. Alors jouons :

- J’espere que si je gagne j’aurais droit a une belle recompense.


Ceci etant dit je pouvais commencer le jeu. Un nom qui lui plairait. Un nom en rapport avec la noirceur de son esprit peut être. Je reflechissais avant de dire au bout de quelques secondes.

- Alors … Voyons … Qu’est ce qui pourrait bien t’aller. Oh je sais. Un prénom en rapport avec la mort des trucs comme ça. Perséphone peut etre. Ca sonne bizarre mais c’est pas trop mal !

Peut etre qu’elle allait pas apprecier. Jsais pas. On verrait bien. Le jeu avait commencé non ?

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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeJeu 6 Mar - 19:05


On respire à peine Juste ce qu'il faut

Parait qu'on est en vie, Et qu'c'est déjà beau On respire à peine Juste ce qu'il faut Pour pas rester sur le carreau. Mais la peine ça se glisse Dans tes souliers. Ça se colle à ta chemise Comme un parfum familier comme du pain d'épice, De la fleur d'oranger
________Pieds et mains glacés Parce que ce foutu sang Hiver comme été circule pas normalement Et reste trop près du cœur Jusqu'à l'étouffement ⊹ Que faire. Que faire avec ce gosse en face de moi. Un peu suicidaire je pense. Ooooooupas. Loumpa. /grossepoutre/ Il n'empêchait qu'il avait assurément du cran. C'était quelque chose qui manquait aux adolescents d'aujourd'hui. *expliqua la vieille centenaire* Bref, allez. L'arrogance. Chez certains de mes confrères mangemorts, ça ne passe pas. Et même, c'est ce qui les énerve profondément. Mais ce soir, présentement, c'est, je crois, ce qui l'a sauvé. Sans son insolence inconsciente et disons-le, totalement cheloue, qui sait dans quel état aurait-il été retrouvé au lendemain de cette nuit. Dans quel état, dans quel fossé. Je ne comprenais pas son obstination à me provoquer. Nous aurions eu des épées, le duel aurait été imminent. Certes, nous avions des baguettes. Moi, toutefois. Lui aussi, j'imagine. Mais il n'en avait pas encore fait le moindre usage sur moi.

________“ La souffrance fait partie de la vie. Sans souffrances, que serions-nous. Des êtres... Vides, impossibles à blesser, impossibles à toucher. Personne n'aurait d'emprise sur personne. Et ce serait au fond, fort dommage. ” Répondai-je à sa phrase, ce à quoi j'ajoutais un petit sourire à mi chemin entre le gai et le triste. Mes yeux se perdent dans le vide un instant, et pendant un instant, je me perds. Je me perds... Je pars loin, loin de la ruelle, du froid, du noir, de blond, du courage... Je faiblis. Je faiblis à penser. Puis je me reprends, laissant aller ma tête de droite à gauche comme un métronome.

________Et il riait. Il riait à gorge déployée, alors que je levais un sourcil perplexe. Quelque chose m'échappait, et je n'aimais pas ça. Son bras s'agrippa à ma chemise. Observant le garçon faire, j'émets un petit son réactionnel qui devait s'apparenter à un grognement faiblard pour montrer que je n'étais pas d'accord. Touche moi, vas-y donc, ne te gêne surtout pas. Je le repoussais un petit peu, histoire de le faire relâcher la pression qu'il exerçait sur mon bras, histoire aussi qu'il comprenne qu'ici, l'Aliénor, on la touche avec les yeux.

________“ Une récompense ? Et alors p'tit prince... Tu perds pas le Nord toi. ” Eclatai-je de rire subitement. L'on devait entendre mon rire à l'autre bout de la ruelle, soyez-en sûrs. Toutefois, l'idée me tentait. Tenant mon menton de mon index et levant les yeux au ciel, je me mettais à penser. A penser à quelque chose que j'aurais à lui offrir. Ne rêve pas p'tit blé, tu n'auras pas grand chose. D'ailleurs, qu'avais-je à offrir. “ Hum. J'ai bien peur de n'avoir que peu de choses à te donner. ” Mais de toute façon, j'étais bien tranquille, mon nom n'était porté par personne. Sauf par une reine, un jour... Je crois. Mais là n'était pas la question. Personne ne trouverait la réponse. J'attendais ses suggestions. Allez, nomme-moi. Perséphone disait-il. Nouvel éclat de rire. “ Tu ne crois pas si bien dire. ” En tout cas, il ne m'avait pas sorti Gertrude ou Alfonsine, c'était toujours ça de bon. Mais Perséphone... Perséphone m'irait au teint, c'était évident. Athéna également. Je crois que ma mère avait hésité. Néanmoins, ça ne me suffisait pas. Après ma petite crise de fou rire nerveux, je repris mon souffle en pointant mon doigt vers lui. “ J'aime ta façon de jouer avec moi. ” Lui lançai-je en me fendant d'un sourire cinglé. “ Je vais respecter mon serment. Je ne te ferai pas plus de mal. Ce sera ta récompense. Tu repartiras de ce soir vivant. ” Et doucement, approchant mon visage de son torse, je passais le doigt sur sa blessure avant de le porter à mes lèvres. Je sais, j'avais dit que... Mais il ne faut pas dire fontaine. “ Miam. ” A nouveau, je pleure de rire. Folle un peu. Folle toujours, mais la folie a du charme. Ou presque. Puis je me redressais brusquement, prenant sa main dans la mienne qui était tâchée de son propre sang mélangé à de la terre, je continuais à l'entraîner dans mon délire. “ Le jeu n'aura pas duré assez longtemps. ” En fait, je ne voulais pas qu'il parte. J'aimais assez ce gamin au final. Et dire qu'au départ, je voulais le manger. C'est toujours comme ça que ça finit. A minuit je mange, à une heure, je suis conquise. Mais cette fois-ci, c'était une conquête d'un tout autre genre. J'appréciais sa compagnie, j'appréciais même les jeux presque malsains que nous avions mis en place. Enfin appréciais... Un petit peu.

________D'un regard presque aimable, je le regardais en l'envoyant valser contre le mur de la ruelle. Ouille je ne t'ai pas fait mal hein ? Crois le ou pas, ton sort me préoccupe. Un peu. Vraiment, un petit peu. Parce que ne l'oublions pas, je ne suis pas une gentille. Je suis une meurtrière. Et je prends mon pied en tuant l'innocent et l'orphelin. Je penche la tête sur le côté, murmurant des mots insensés d'une voix presque inaudible, avant de jeter devant ses yeux ma baguette à ses pieds. “ Je ne l'utiliserai plus sur toi ce soir. Je te l'ai promis. ” Je suis une femme qui tient aux promesses... Tout du moins... Ce que je crois encore être des promesses.

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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeJeu 6 Mar - 20:43



On respire à peine Juste ce qu'il faut  


Oh qu’elle ne ce méprenne pas. J’etais d’accord avec elle pour la souffrance. D’ailleurs ça me trippais bien de l’infliger aux gens. Il n’y avait rien de plus amusant que lorsqu’une de mes victimes me jetais un regard de chaton bléssé. Et y’avait certains regard que j’appreciais plus que d’autres mais ça c’était une autre histoire.  En tout cas j’etais d’accord avec elle. La souffrance ça faisait partie de la vie bien sur.  Un peu comme le plaisir. Mais sans souffrance pas de plaisir non ? Du moins personnellement c’était dans la souffrance que je prenais mon pied. J’adressais un nouveau sourire a la seduisante jeune femme en face de moi avant de dire :

- Oui c’est pas faux. Et je suppose que tout comme moi tu aimes avoir de l’emprise sur les gens.


L’emprise ça pouvais aller loin.  Trop loin … J’avais bien une petite idée de la personne avec laquelle j’etais allé trop loin et j’etais sur qu’elle continuait de s’en mordre les doigts. Enfin qu’elle soit rassuré, maintenant que j’etais un vampire je ne pouvais plus vraiment allez trop loin avec la petite Amy. C’était bien dommage d’ailleurs. D’ailleurs la mysterieuse inconnue elle ne voulait pas que je la touche non plus au vu de sa reaction. C’est elle qui a commencé les contacts rapprochés pourtant. Ahlala les femmes. Elles ont vraiment un soucis avec leurs hormones. J’avais donc laché prise parce qu’elle m’avait repoussé. Pour le moment.

Mais non je perdais pas le nord. Si je gagnais le jeu j’avais forcement droit a quelque chose non ? Même si ce n’était pas important. Rien que le fait de gagner c’était jouissif pour moi de toute façon. Un clin d’œil a sa reaction. Et je confirmais :

- Non je perds pas le nord. J’ai toujours été habitué a être recompenser quand je gagnais.


Sale habitude de sang pur gaté je suppose. Elle n’avait que peut de chose a me donner ? Oh c’était triste. Mais c’était pas comme si je m’attendais a recevoir une montagne de gallions. J’haussais donc les epaules.

- Ca ne fais rien.

Maintenant c’était l’heure de jouer. Et j’avais tenter de dire un nom. La reaction ne ce fit pas attendre. J’avais tapé dans le mile visiblement. Et tant mieux. Visiblement elle avait aimé notre jeu et c’était reciproque. Moi aussi j’avais bien aimé. Je débloquais probablement mais c’était pas étonnant. Si ?


- Moi aussi j’aime bien. Ca m’a même donner faim.


En parlant de faim la voila qu’elle posait son doigt sur mon torse pour gouter mon sang. Je ne savais pas si le sang de vampire avait un gout different de celui des sorciers lambda. Mais je supposais qu’elle ne connaisse pas la difference. Et puis surtout qu’elle ne la ressente pas. Je grimaçais un peu a cause de la douleur. Oui parce que ma plaie était a vif quand même. Mais je ne pu m’empecher de demander :

- C’était bon j’espere.

Voila qu’elle attrapais ma main en riant. Et moi je me mordais un peu la levre pour resister a la tentation de la mordre. Mais de toute façon elle avait fini par me lacher. Enfin … Elle m’avait envoyé contre un des mur de la ruelle. Elle avait pas duré longtemps sa promesse. Sauf qu’alors que je me redressais sa baguette venait d’atterir a mes pieds. Pas de doute. Elle était folle. Vraiment. Je l’avais ramasser avant de la regarder avec un sourire un peu surpris.

- Mais qu’est ce que je peux faire de ça …

Je regardais la baguette avant de demander :

- Tu veux qu’on joue a un autre jeu ?


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Aliénor de Narsès
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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeJeu 6 Mar - 21:50


On respire à peine Juste ce qu'il faut

Parait qu'on est en vie, Et qu'c'est déjà beau On respire à peine Juste ce qu'il faut Pour pas rester sur le carreau. Mais la peine ça se glisse Dans tes souliers. Ça se colle à ta chemise Comme un parfum familier comme du pain d'épice, De la fleur d'oranger
________Pieds et mains glacés Parce que ce foutu sang Hiver comme été circule pas normalement Et reste trop près du cœur Jusqu'à l'étouffement ⊹ J'avais donc jeté ma baguette. C'était un peu comme de déposer son arme aux pieds du gagnant. Cette nuit, il avait gagné ma baguette. Non, mais rêve pas hein. C'est pas vrai. Dans cinq minutes j'te la reprends, de gré ou de force. Toutefois, pour l'heure, il avait ma baguette entre les mains. [Sans sous entendus.] D'un mouvement brusque, d'une rotation de poignet et de quelques mots bien trouvés, il aurait pu m'arracher les entrailles en une seconde à peine. Me tuer, il pouvait. Mais quelque chose me disait qu'il ne me ferait pas de mal. Enfin de ça... Au fond, je ne pouvais pas en être certaine. On n'est jamais certains de la mort qui vient. Parfois on se trompe. Parfois l'agonie est plus lente que prévue. Parfois.... Bref je me perds. J'avais goûté à son sang. Il était finalement assez fade, mais je ne faisais pas la fine bouche. Pour moi, du sang c'est du sang. Je ne suis pas une créature qui en boit des litres entiers juste pour le plaisir. Moi je lèche juste ce qui s'écoule des joues que je taillade. Oui, ... Je sais que je vous fais peur, mais si ça ne vous plait pas, je ne vous retiens pas la porte c'est par là, ne salissez pas le paillasson en partant. -->.

________“ Effectivement. Mieux vaut contrôler qu'être contrôlé n'est-ce pas ? ” Je répondais à sa phrase tournée en question du mieux que je pouvais. Oui, j'aimais ça, faire du mal aux autres, et surtout, diriger la vie des autres, décider de leur laisser la vie sauve... Ou pas. C'était... Jouissif. Avant, je croyais que c'était ça, le bonheur, être heureuse, ces conneries-là. Je ne savais pas qu'on pouvait trouver de l'or autre part qu'en tuer les gens. Mais de toute façon, je n'étais pas une sainte. J'avais repoussé son bras, parce que je n'aimais pas qu'il me touche. D'ailleurs, il n'y'en avait qu'une de qui j'aimais être touchée. ... Non, attendez. Il n'y'en avait qu'une que j'aimais de qui... Je ne sais plus tourner ma phrase, LOUL. Hum, enfin vous avez compris je crois. En tout cas, plus la nuit avançait, plus je trouvais Aaron_ Oui je fais l'effort de l'appeler par son prénom_ intéressant. Roh. Pas intéressant dans le sens “Oh il est bien celui là, j'vais me le faire.” Pervers vous êtes. Mais plutôt dans le sens... “Il n'a pas peur de moi. Il veut jouer avec moi. Je sens qu'il a mes goûts pour le macabre.” Partager ce genre de jeux... Pourquoi un gosse de cet âge-là aimait-il ces choses-là. Il n'avait pas bougé quand je lui avais tordu le poignet, il avait à peine crié lorsque je l'avais blessé. Les autres enfants que je malmène sont toujours... A ramper dans leur flaque de sang pour me dire “Oh s'il te plait .... ?” Et moi je disais “S'il vous plait.” C'est bien Ali, arrête de raconter ta vie maintenant, t'es pas chez un psy, merci. *patpat*

J'attendais sa réaction. Il ne savait pas quoi faire. Il me souriait en me demandant de jouer. Jouer à un autre jeu ? Si moi je voulais jouer ? Mais ... Mais .... MAIS OUI. Esquisse de sourire diabolique. (On aura sorti toute la panoplie des sourires dans ce RP...) Je m'avance en me dandinant un rien vers lui, le plaquant contre le mur en disant “ A quoi joues-tu d'habitude avec tes petits copains de classe ? ” Avant de le relâcher et de m'éloigner quelque peu. Je me doute que ses copains de classe n'avaient pas ce genre de passions sordides. Malheureusement. Ou... Heureusement, tout dépend du point de vue. Un regard se perd vers ma baguette qu'il serre dans sa main. Je n'essaie pas de la lui reprendre. Pas pour l'instant. Pour l'instant, nous nous amusons un peu. La soirée prend une allure de chasse au trésor, et le trésor c'est mon nom que je lui offrirai, comme un partage de grand maître, un secret qu'on confie.

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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeJeu 6 Mar - 23:53



On respire à peine Juste ce qu'il faut  


Me voila … Armé jusqu’aux dents si je puis dire. Parce que oui j’avais effectivement des armes a la place des dents. Mais c’était une toute autre histoire. J’attrapais doucement ma propre baguette. Je preferais me servir de ma magie. On ne savais jamais ce que la baguette d’un autre pouvait faire. C’était capricieux ces bêtes la. Je murmurais doucement un « Episkey » dirigé sur moi. L’odeur du sang serait moins forte. En plus ma blessure avait déjà commencer a cicatriser bizarrement. J’etais different. Un monstre surement. Même plus humain. Je rangeais ma baguette dans ma poche. Mais je gardais celle de la jeune femme en main. On avait pas fini. Non …. On était loin d’avoir fini. Elle me faisait rire en tout cas. Contrôler. J’aimais ça. Avoir le contrôle sur tout. C’était plaisant. Je regardais la baguette entre mes doigts avant de dire :

- Oh oui … J’aime tout contrôler.


Mais je perdais le contrôle. Depuis que j’avais été mordu. Tout m’echappais. Et tout allait m’echapper. Ma renommée. Mon sang pur. Moi-même. Je ne contrôlais plus rien. J’allais mourir. Pas aujourd’hui. Mais maintenant. Mais j’allais mourir. D’une façon ou d’une autre. Ma seule façon de tuer c’était d’abattre ma famille avant. Mais est ce que je le voulais vraiment ? Est-ce que j’allais tuer mes parents et oublier ce qu’ils m’avaient enseigné. En attendant je pouvais continuer de jouer. Je me retrouvais plaqué au mur. A quoi je jouais … Elle était déjà partie. Dommage. Je m’etais mis a rire doucement :

- Si … Tu etais resté prêt de moi j’aurais pu te montrer ce a quoi je joue avec les jolies filles.


Je me redressais un peu. Avant de poursuivre.

- Pour les autres ça dépend … Mais au fait …


Je pointais sa propre baguette sur elle. Pas de sang. Pas de flammes. C’était limité. Alors j’allais tenter autre chose.

- Je ne sais toujours pas ton nom. Et si tu me le disais gentiment ? « Impero »


Ca ne devrais pas être tres compliqué non ? Je voulais juste lui faire dire son nom. Peut etre que ce sort se retournerais contre moi. Ca allait être … Drôle quoi qu’il advienne.


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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeVen 7 Mar - 21:06


On respire à peine Juste ce qu'il faut

Parait qu'on est en vie, Et qu'c'est déjà beau On respire à peine Juste ce qu'il faut Pour pas rester sur le carreau. Mais la peine ça se glisse Dans tes souliers. Ça se colle à ta chemise Comme un parfum familier comme du pain d'épice, De la fleur d'oranger
________Pieds et mains glacés Parce que ce foutu sang Hiver comme été circule pas normalement Et reste trop près du cœur Jusqu'à l'étouffement ⊹ Un Episkey lancé sur lui-même, et ses blessures se soignaient un peu. Un peu. Tout de moins, elles le faisaient moins souffrir, même si j'étais restée soft. J'aurais pu lui faire bien plus mal. Mais comme je l'ai répété maintes et maintes fois au cours de mes précédentes introspections, ce gamin-là me plaisait assez. Son courage surtout. Son courage qui s'apparentait un peu à l'inconscience. On recule devant les vipères, personne n'avait dû le lui apprendre. Peut-être n'avait-il pas de famille. Peut-être je ne sais pas moi, mais un gosse qui traine dans une ruelle obscure le soir, sans escorte comme une étoile solitaire, je crois que ça cache quelque chose de pas forcément net. Il n'y'avait pas beaucoup de petits sorciers qui erraient le soir, seuls dans le londres Moldu, le londres assassin. Parce qu'on le sait, les méchants aiment aller là où les moldus sont les plus nombreux, pour éviter de se faire repérer par les aurors ou les autres. Enfin bon.

________Il me regardait toujours, je crois que depuis le début de la soirée, nos regards ne s'étaient pas lâchés d'une seconde. Il faut dire que suis agréable à regarder, et lui... Pas déplaisant non plus. Mais moi je n'aime pas les garçons. Moi j'aime les petites biches. Allez, on va jouer, puisqu'entre nous, maintenant, tout était question de jeu. Si j'étais restée près de lui, il pouvait me montrer ce qu'il faisait avec les filles ? Ehhh là. Ehhhhh là. Tout doux le p'tit blé. Déjà, je ne suis pas une fille, je suis une femme, une mangemorte par dessus le marché. Je grimace en levant les yeux au ciel. Mais je ne relève pas sa reflexion. Je préfère passer outre. Je ferai comme si je n'avais pas entendu. Ou plutôt, imaginons qu'il parlait de jeux tout autres que ceux auxquels on joue entre filles et garçons. La belette par exemple. La belote pardon, lapsus de fin de soirée parce que je suis nostalgique par la faute de la put.... De Juliet. Ou encore le tarot, le tricot... Non, pardon, moi je ne connais pas les jeux moldus.

________“ Ahahaha ! ” Eclatais-je de rire lorsqu'il lança son sortilège d'Imperium sur moi. Tu crois quoi p'tit prince ? Tu crois que ça marchera ? Tu n'es pas... Excuse-moi, mais voilà. Le sort s'échappa de sa baguette mais retomba au sol immédiatement. M'avançant vers lui, cette fois animée d'une colère nouvelle qui venait de naître en moi, voyant ce qu'il venait de tenter, je le saisit par le col en l'entraînant plus vers l'ombre de la ruelle. “ Tu as essayé de jouer à ça avec moi ? ” Je criais un peu. Je hurlais même. Je m'en fichais du bruit que je faisais, j'étais là pour réveiller les voisins. Non j'étais surtout énervée follement. Il ne faut pas jouer avec les mangemortes, tu sais. Il ne faut pas se croire au dessus des jeux.

________“ On était en train de jouer. ça ne te plaisait pas ? Tu voudrais savoir comment je m'appelle ? ” Au fond, j'étais partie pour le lui dire, mais je n'appréciais pas la situation. Fort déplaisante je dois dire. D'une violence assez rare, mais pas chez moi, je l'envoyais une fois encore contre le mur, avant d'encastrer mon poing rageur dans son dos. Je ne devais pas lui faire trop de mal, je ne suis.... Oui, qu'une femme en fait. Mais pas que. J'étais surtout une folle. Une sorcière. Une méchante. Mais il tenait encore ma baguette. Et je n'avais pas mes couteaux sur moi. De toute façon, la baguette est plus intéressante que la lame. Les lames, c'est la put... Juliet, troisième édition, qui sait les manier comme personne. Brutalement, je le retourne et lui lance un coup de genou bien placé. De haut, je le regardais. Je n'aimais pas être doublée. Pendant qu'il gémissait, j'en profitais pour arracher mon bien de ses mains. “ Je m'appelle Aliénor. ” Murmurai-je à son oreille avant de revenir lentement vers la lumière du réverbère, observant de là où j'étais le gamin plié en quatre. Enfin, en deux.

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Aaron D. Rembrandt
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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeVen 7 Mar - 23:24



On respire à peine Juste ce qu'il faut  



Moins de sang. Ce serait mieux comme ça. Bon j’etais pas soigneur. Ma blessure n’était pas parfaitement guerie. Mais avec du sang de vampire dans les veines ma cicatrisation irait plus vite. Et tant mieux. Ça serait con que mes parents me grille pour ça je suppose. Bref. Une fois cela fait j’allais pouvoir continuer de jouer avec elle. Mais il semblerait que madame n’ai pas apprécier la tournure de notre jeu. Ah ben fallait pas me jeter sa baguette a mes pieds hein ? Du coup j’avais tenté un truc. Un impero. C’était stupide. Vraiment. Mais si je tentais pas ça aujourd’hui quand est ce que je pouvais tenter ? D’ailleurs je ramassais la dite baguette au sol :
Mais le sort n’eut pas vraiment l’effet escompté. A moins qu’elle ne s’apelle « hahahaha » en réalité … Mais … Je ne crois pas. Puis la baguette était tombée au sol. C’était bien ce que je pensais. Je ne l’avais pas désarmé alors le sort ne risquait pas de marcher. Un soupir. Et un air blasé. La femme elle n’était pas contente. C’est qu’elle allait me faire mal aux oreilles a hurler comme ça. J’haussais les epaules :

- Tu voulais qu’on joue. Tu ne m’as rien précisé d’autre.

Ah d’accord elle pensais que je ne voulais plus jouer parce que j’avais tenté de lui faire dire son nom. Moi qui pensais qu’elle était passé a autre chose. Je me trompais. Je me contentais de la regarder avec un leger sourire avant de repondre simplement :

- Mais j’etais en train de continuer justement.


Et soudain je me retrouvais a nouveau contre le mur. Puis alors que je serais sa baguette entre mes doigts elle me decocha un coup de poing dans le dos. Je grognais de douleur avant qu’elle ne me retourne pour me coller un coup de genoux. D’ailleurs j’etais tombé a genoux. Et entre deux gemissement je rigolais un peu lorsqu’elle m’arracha sa baguette des mains..

- A … lienor.

Je toussais un peu en émettant un autre rire. Ca lui allait bien en fait. Ca expliquais beaucoup de chose. Je tentais de me redresser malgré la douleur avant d’ajouter :

- Ça te va vraiment bien.

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Aliénor de Narsès
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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeSam 8 Mar - 21:19


On respire à peine Juste ce qu'il faut

Parait qu'on est en vie, Et qu'c'est déjà beau On respire à peine Juste ce qu'il faut Pour pas rester sur le carreau. Mais la peine ça se glisse Dans tes souliers. Ça se colle à ta chemise Comme un parfum familier comme du pain d'épice, De la fleur d'oranger
________Pieds et mains glacés Parce que ce foutu sang Hiver comme été circule pas normalement Et reste trop près du cœur Jusqu'à l'étouffement ⊹ Si tu savais, petit être blond. Si tu savais ce que signifie Aliénor aux yeux de qui la craignent. Certes, je ne suis pas celle dont on ne prononce pas le nom. Au contraire, bien au contraire. Les gens parlent de moi. J'imagine qu'ils doivent parler de ma folie, de mes heures de chasse, histoire de ne pas me croiser. Ou encore, de mon corps parfait, de... Bon. Comment ça, on s'en fiche ? Grumbf ! Vous même. Allez je reprends. Calmement si possible. ... En fait non, calmement c'est impossible. Le p'tit là il venait quand même de me jouer un sale tour. Un sale sort même. Il avait échoué. Maintenant il était surpris. Surpris de quoi, surpris de qui ? De lui, de moi ? Beeeehh... Mouton.

________Il était encore à demi accroupi, tenant son ventre entre ses bras, et je le regardais. “ Eh bien, disons que nous avons joué. Et que tu as gagné, en quelques sortes. Je t'ai offert mon nom. Que veux-tu d'autre ? ” Puis, d'un geste presque machinal, je place une cigarette entre mes dents puis l'allume de ma baguette (avec le sort dont je sais plus comment il s'appelle, je sais ce n'est pas français, je sais je pourrais aller regarder, mais j'ai pas le courage « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. 999640203) Je le narguais un peu. Mais aussi, je lui avais donné quelque chose d'assez précieux finalement. Après tout, peu étaient ceux à qui j'avais tendu ma baguette, mon bras et mon identité. Enfin... Peu étaient vivants, toujours.

________“ A.... Liénor. ” Répétais-je limite en ricannant. Oui, n'oublions pas que je ne suis pas une blanche colombe qui vole en chantonnant la mélodie du bonheur au dessus du pays des petits poneys roses. Curieux... Bref.

________Il toussotait, et moi je riais, je riais. Je continuerai à rire jusqu'à demain matin je crois. Grosse crise de fou rire. Et allez, ça continue. Pauvres voisins, ils ne sont pas prêts de dormir. Mais en fait, vous voulez que je vous dise, je m'en fiche un peu. Voire beaucoup en fait. “ Merci Aaron. ” Répondais-je à son compliment du nom... COMPLIMENT DU NOM ! complément du nom. Bref maggle. Aherm. Doucement, je m'approchais à nouveau de lui. [Combien de fois ai-je écrit "doucement je m'approchais de lui" xD ] et me penchant vers son visage, je mis ma tête contre la sienne, l'espace d'une ou deux secondes, pour lui montrer que je n'étais pas fâchée. Oui c'est comme ça que je fais ! Et alors ? Un souci ? Mais attention, je n'allais pas lui faire un calin ou d'autres conneries de ce genre. Il ne faut pas trop fumer. Allez, après le petit instant de ... Semblant de gentillesse, je m'adossais au mur de la ruelle, juste à ses côtés. Je souriais encore un peu, mais je repensais malgré moi à ce que j'étais devenue. Ou plutôt, à ce que j'avais toujours été. Une femme froide. Calculatrice. Violente. Qui blesse au lieu de soigner. Et encore ce soir, je n'avais pas été tendre. Enfin... Un peu quand même. Mais j'avais été brutale. J'avais peur que ça ne lui plaise pas...

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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeDim 9 Mar - 1:54



On respire à peine Juste ce qu'il faut  



Alors comme ça j’avais gagné le jeu. C’était bon a savoir. Et puis ca faisait toujours plaisir de gagner. J’aimais bien ça. J’avais effectivement eu son nom. Alienor … Aliénée … Oui c’était clair qu’elle le portait bien. C’était un peu comme si ses parents avaient pu deviner son destin. Ce n’était pas donné a tout les parents ça … Non aucun rapport avec mon prénom. Disons que les miens seraient bien surpris de savoir ce que j’etais devenu. Mais soit n’y pensons pas. Fallait que je reflechisse a ce que je voulais d’autre et c’est machinalement que je fini par dire :

- Du sang.

C’est vrai. Si j’arpentais les ruelles de Londres a la base c’était pour me nourrir. Et il fallait absolument que je me nourrisse avant de rentrer. M’enfin jpense pas qu’elle allait m’aider. De toute façon elle ne savait pas elle non plus que j’etais un vampire. Peut etre qu’elle allait prendre ça comme une invitation a m’attaquer ou quelque chose comme ça. En tout cas ça la faisait bien marré le fait que j’avais du mal a prononcer son nom. Mais bon je ne reagissais pas. C’est pas comme si ça en valait la peine.

En revanche j’eu droit a des remerciement pour mes compliments. Et des remerciements rapprochés en plus. C’était pas dérangeant … Enfin elle avait juste posé sa tête contre la mienne. Mais elle n’était pas désagréable a regarder alors voila. Je lui adressais un leger sourire. C’était mignon son petit geste. Ca voulait dire qu’on faisait la paix ? Je suppose. Je la laissais s’eloigner avant de dire :

- De rien …


Je n’allais … Peut etre pas rester. Pas que sa compagnie me deplaisais. Pas que son jeu ne m’avais pas amusé ? Mes blessures dans tout ça ? Elles etaient acessoires. Des demain je n’aurais probablement plus grand-chose. Je passais doucement une main dans mes cheveux avant de déclarer :

- Je ne vais pas t’embeter plus longtemps …

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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeMar 11 Mar - 16:12


On respire à peine Juste ce qu'il faut

Parait qu'on est en vie, Et qu'c'est déjà beau On respire à peine Juste ce qu'il faut Pour pas rester sur le carreau. Mais la peine ça se glisse Dans tes souliers. Ça se colle à ta chemise Comme un parfum familier comme du pain d'épice, De la fleur d'oranger
________Pieds et mains glacés Parce que ce foutu sang Hiver comme été circule pas normalement Et reste trop près du cœur Jusqu'à l'étouffement ⊹ Le jeu s'achevait. Le froid nous enveloppait, et moi sombre aliénée, je continuais à rire de la  souffrance des autres. Là pour le coup, je ne riais plus. Pourquoi rire, finalement, de la douleur quand on sait ce qu'elle représente quand elle s'attaque à nous. A notre corps, à notre chair, ou à notre coeur. Mon coeur était le seul à pouvoir avoir mal, parce que je ne craignais plus rien d'autre que l'amour. L'amour me faisait me sentir faible et craintive, comme une enfant apeurée, un bébé animal fébrile. Mais soit, ce n'est pas ici le sujet. Aaron... Aaron, le beau blond. Je le regardais toujours, et je souris en entendant sa réponse. Du sang. Du sang ? Quoi tu veux en faire quoi de ce sang ? Tu veux que je te blesse ? Tu veux... Je sais pas. Je ne comprends pas. La belette voulait du sang, elle aussi. Elle était... Non, je ne crois pas que lui soit comme ça. De toute façon, quelle importance au final. Je ne suis pas un distributeur de soda. Et puis je pense qu'il cherche juste à s'amuser. Et ça m'a fait rire.

________“ Moi aussi, j'aime ça, le sang. ” Enfin moi, contrairement à certains, je ne vis pas de ça. Mais j'aurais aimé comprendre quand même, pourquoi ? Parce que je suis curieuse. Vieille, folle et curieuse. Oui et alors ? Enfin bon.

“ Je ne peux pas dire que tu m'aies embêtée.  ” M'écriais-je en lui adressant un signe de la main bizarre, genre la paume à l'horizontale et les doigt un peu recourbés. Voilà visualisez le truc. Bref. Non mais c'était vrai. Belle soirée. Bonne soirée même. Je le laissais repartir. C'était un peu une première pour moi. D'habitude... Enfin.

Peut-être était-il attendu quelque part. Ou peut-être même par une fille. Oui ben peut être ! Je ne sais pas. C'est mignon les jeunes. “ Soit. Je ne te retiens pas plus longtemps. ” Puis, m'approchant une dernière fois de lui, je l'ébouriffais en léchant sa main pleine de sang. “ J'espère que nous nous reverrons. ” Léger sourire. “ P'tit prince. ” Avant de disparaitre dans la nuit profonde.

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MessageSujet: Re: « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron.   « On respire à peine Juste ce qu'il faut _ft.Aaron. Icon_minitimeMar 11 Mar - 18:38



On respire à peine Juste ce qu'il faut  



Je n’aurais probablement pas du dire ça n’est ce pas ? Mais c’était sorti du fond du cœur. Enfin du moins de ce qu’il m’en restait. Alors j’attendais la réaction de la jolie Alienor. Elle penserais que j’etais fou non ? Enfin si elle ne devinait pas que j’etais un vampire. Peut etre qu'elle en connaissait. Peut etre que ma replique ne pardonnerais pas. Mais contre tout attente elle repondit qu’elle aussi aimait le sang. Je lui adressais un leger sourire. Ca l’avait même fais rire :

- Oh … Alors on se comprend.


Il fallait d’ailleurs que je me nourrisse. L’odeur de mon sang me donnais encore plus faim, il ne fallait donc pas que je tarde trop, donc je signalais a la femme en face de moi que je n’allais pas l’embeter plus longtemps. Mais visiblement je ne l’avais pas embeté C’était bon a savoir je suppose. Je déclarais donc :

- Me voila rassuré.

Mais elle ne me retiendrait pas. Tant mieux ? Parce que je ne sais pas si j’aurais réussi a passer plus de temps avec elle sans tenter de la mordre. Je ne savais pas si en restant jusqu’à la fin de la nuit ce maudit soleil aurait eu raison de moi. Non j’en savais rien. Alors j’estimais que je m’en était plutôt bien sorti. Elle c’était rapproché de moi avant de lecher ma main et de m’ébouriffer les cheveux. Oh je vois … Il n’y avait que madame qui pouvais se permettre les contacts rapprochés. Moi par contre je devais rester sage. D’ailleurs je l’etais resté sage mais avant qu’elle ne disparaisse entierement dans la nuit je lui avais doucement rendu son sourire avant de dire :

- J’espere aussi.

Puis je fis volte face a la recherche d’une proie. Il fallait que je fasse vite … Que je sois discret et que je nettoie tout ce sang avant de rentrer au manoir. Ouais il n’y avait pas de doute. La nuit allait être encore assez longue.

Fini !
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