James Potter
♦ Gallions : 3285 ♦ Date d'inscription : 16/07/2015 ♦ Multicomptes : aucun ♦ Caracteristique : Poursuiveur | Sujet: James | Here is my story Jeu 16 Juil - 2:26 | |
| Bonjour !! Dites j'ai une question assez existentielle !! J'ai le droit de prendre Aaron Taylor Johnson comme avatar ?! J'adore tellement ce mec !! Y'a écrit [ici] que sa bouille c'est : ANDREW GARFIELD, mais sérieusement, Aaron est carrément plus canon !! Et puis, dans ce sujet [là], c'est aaron qui était réservé ...
Bref j'espère vous serez d'accord !! => Requête acceptée, MERCIIII ︎ « Potter, James » Voila... Voila, c'est qui je suis. J'ai présentement 15 ans et je suis en 5ème année à Poudlard. Je suis né le 27 mars 1960 à l’Hôpital Sainte Mangouste, à Londres ; je suppose qu'on peut donc dire que je suis d'origine Anglaise . Mon sang est pour, mais ça n'a pas d'importance à mes yeux et on connaît ma famille parce que c'est une famille de Sang-Pur réputé. ︎ Si je dois vous parler un peu de moi je dirais que je suis hétérosexuel et même que je suis maheureusement célibataire.. Sinon il se passe un truc hallucinant, on me dit que je ressemble à Aaron Taylor Jonhson; et c'est à moi-même que je dois tout ça. ︎ Oh sinon moi... J'ai un pouvoir : celui de un animagus non déclaré. ︎ Voldemort Mange patates sautées Enfin ! C'est ce qu'on dit ! Et sinon, moi c'est Jaym et j'ai 23 ans !! ouuh c'est beaucoup. J'ai connu SW' par via un partenariat et j'ai pas grand chose à dire pour le moment ^^ | | Bon, déjà, partant du fait que James a actuellement 15 ans, il a beau être fort le petit, je vois pas pourquoi il aurait essayé d apprendre à lancer le sortilège de patronus. Donc déjà, il ne sait pas le lancer à mon avis. Mais si je dois en choisir un… Je sais que le chien est déjà prit -par nul autre que Sirius, mais j aimerai beaucoup que mon Patronus soit un gros Labrador quand même. Pour la simple et bonne raison que pour faire apparaitre un Patronus il faut penser à un souvenir heureux. Et je crois que le meilleur souvenir que James puisse utiliser pour lancer le sortilege est simplement en se souvent d un moment particulierement heureux passé avec Siirus qu’il considère comme son frère. Si cela n’est pas possible, et bien enregistrez-moi (ou plutot gardez-moi, puique le listing n est pas à jour ^^) sous le patronus d un Cerf, mais c est assez étrange à mes yeux que mon meilleur souvenir soit moi-même, ça fais très égocentrique haha. | Prongs & Maraudeur & Brillant surtout en métamorphose & Populaire & Farceur jusqu'à être un fauteur de troubles & Arrogant à en être énervant & Loyal & Têtu & Effronté & Charismatique & Sociable & Boute-en-train & Fidèle & Intelligent & Trop Téméraire & Forte personnalité & Extraverti & Courageux & Yeux chocolat pétillant de malice & Baguette : vingt-sept centimeter et demi # bois d’acajou, # ventricule de dragon # flexible # remarquablement efficace pour les metamorphoses. | J’ai un PV. James est à Gryffondor :) amoureux de Lily # considère Sirius comme son frère # un des créateur de la carte des Maraudeurs # joue avec un vif d'or pour se distraire. Cadeau de son père # il possède une cape d'invisibilité, bien pratique quand ils font des bêtises |
UNE ENFANCE DES PLUS HEUREUSE... Cela faisait des années qu’ils essayaient. Qu’ils avaient tout essayé. Mais à leur plus grand malheur, jamais le ventre de Dorea ne s’arrondissait. Plus le couple prenait de l’âge, plus les chances s’amoindrissaient, jusqu’à ce qu’ils se résignent et perdent tout espoir d’accueillir chez eux une nouvelle vie. Ils n’y croyaient plus, et pourtant, en Août mille neuf cent cinquante-neuf, alors que Charlus Potter rentrait d’une journée éreintante de travail, il eut le bonheur de voir sa femme courir en sa direction sitôt qu’il apparut dans la cheminée. Les yeux brillants d’émotions et les mains tremblantes de bonheur elle annonça la bonne nouvelle, le petit miracle. Ils avaient attendu si longtemps qu’on aurait pu croire que l’attente Monsieur et Madame Potter connaissaient et avaient acquis cette patiente. Et pourtant les mois qui précédèrent la venue de l’enfant leur sembla interminable. Dorea mis au monde un petit garçon, prénommé James le vingt-sept mars mille neuf cent soixante. C’était à les écouter le plus beau jour de leurs vies, mais en affirmant cela, ils oubliaient combien un enfant dans le manoir apporterait encore plus de joie, chaque jour rendant le lendemain plus beau que la vieille.
James grandit paisiblement à Godric's Hollow -un célèbre village pour avoir abrité bons nombres de sorciers très connus- dans le manoir familiale. Issu d'une famille de Sang-Pur aisée, il ne manqua de rien. Ni d'amour, ni d'attention, ni même de bien matériels. Il ne se passait pas un jour sans le rire du petit garçon aux cheveux noirs ne résonne pas dans toute la maison. Plein de vie, il courrait partout, s'inventait quinze aventures par heure et parlait bien trop souvent pour raconter des bêtises. Il était même épuisant à la longue, et pourtant jamais Dorea ne se plaint malgré son âge avancé alors qu'elle essayait de le rattraper pour le forcer à prendre son bain ou le faire manger des légumes. Elle considérait son fils comme la première merveille du monde, une pierre précieuse inestimable. Chaque jour, elle remerciait Merlin pour ce cadeau et ne cessait de le choyé. James comprit bien vite que ses parents n'arrivaient que trop peu à lui dire non tant ils l'aimait. Pourri gâté, avec son grand sourire et ses yeux pétillants de malices, il avait le don d'obtenir tout ce qu'il voulait. Mais il n'échappa tout de même pas aux leçons que lui dispensait son professeur particulier. Apprendre à lire, compter écrire, l'histoire la géographie, et d'autres notions que tout jeune sorcier se devait de maîtriser. De la même façon, bien qu'elle cédait la plupart du temps à ses caprices restait intransigeant sur son éducation, James devait montrer un comportement exemplaire et la politesse devait faire partie de son quotidien. En contre partie, Charlus lui acheta un balais enfant - puis un balais un peu plus adapté à son âge - et lui apprit à voler. James trouva alors dans le vol un sentiment de liberté infinit. Le vent ébouriffant encore plus ses cheveux déjà incoiffables, il se trouvait dans les airs, dans son élément. Curieux et vifs d'esprit, il s'intéressait à tout, mais surtout à Poudlard. L'école de Sorcellerie. La date approchait, bientôt, il fêterait ses onze ans. Ensuite, l'été commencerait et dès lors, sa lettre d'admission arriverait... Il ne pouvait pas en aller autrement.
LES MARAUDEURS DÉBARQUENT À POUDLARD... Le seul bémol que James trouve à redire de son enfance, c'est l'absence d'un frère ou d'une sœur. D'un compagnon de jeu, toujours prêt à inventer des nouvelles bêtises ou aventures avec lui. Il ne connaissait que très peu d'autres enfants, ses parents côtoyant des gens de leurs âges, c'étaient plutôt à des adolescents qu'il avait à faire, des sorciers de premier cycle qui dédaignaient le petit hyperactif lorsqu'il demandait s'ils voulaient jouer avec lui. Mais cela ne décourageait pas James qui continuait son petit bonhomme de chemin, persuadé qu'à Poudlard il se ferait plein d'amis. Après avoir récupéré non sans fierté sa baguette, vingt-sept centimètres et demi, faite en bois d’Acajou et renfermant un ventricule de dragon, le garçon courut acquérir ses uniformes et autres matériels scolaires nécessaires. Il bouda un peu alors que son père lui assura pour la dixième fois que les premières années ne pouvaient pas intégrer l'équipe de Quidditch et se contenta de demander à ses parents le dernier magasine parus de Quidd'Mag afin de « s'occuper pendant ce long trajet en train qui le mènerait à l'école » se justifia-t-il.
Lorsqu'on demandait aux enfants ce qu'il voulait faire plus tard, bon nombre répondait, comme papa, ou comme maman. Ou alors une grande carrière d'Auror. James lui aspirait à jouer au Quidditch, rien ne pouvait le rendre plus heureux que de passer une après-midi sur son balai. C'est grâce au Quidditch et à ce magasine que James engagea la conversation avec Sirius Black, un jeune garçon lui aussi entrant en première année. Ils passèrent plusieurs heures à débattre des derniers matchs, des meilleures équipes du monde, rigolant beaucoup, parlant trop vite. Le feeling était tout de suite passé, mais ils ne réalisaient pas encore combien ils allaient s'apprécier. Approchant de Poudlard, la tension montant dans le compartiment. James avait beau faire le malin à parler et rire fort, il appréhendait la répartition. Il en avait parlé avec son père, la vieille encore, qui lui avait assuré qu'il n'avait aucun risque qu'il soit déçu, James ne pouvait s'empêcher de passer la main dans ses cheveux et de faire encore plus le pitre qu'à son habitude. Comportements qui trahissaient sa nervosité.
Comme prévu, son père avait entièrement raison. Le choixpeau magique hurla Gryffondor sitôt qu'il fut placé sur sa tête. Ravi, le brun se hâta de rejoindre la table qui applaudissait sa venue, et surtout Sirius qui avait été réparti un peu avant lui. « J'suis content qu'on soit dans la même maison » lui avait lancé James dans un grand sourire avant de se retourner vers les autres pour entamer les présentations. Charismatique il ne tarda pas à se faire remarquer et surtout se faire apprécier. Mais c'est surtout son comportement légèrement perturbateur qui lui fit acquérir une grande renommée. Il trouva en Sirius en camarade absolument parfait, toujours partant pour faire des bêtises, inventer une blague à faire, défier le règlement. Ils étaient intelligents et terriblement doués. Leur popularité ne faisait que les conforter dans leurs agissements. Ils se lièrent aussi d'amitié avec Remus et Peter, deux autres garçons avec qui ils partageaient leur dortoir. Bien vite on parla d'eux comme le quatuor de premières années. Les pires fauteurs de trouble que Poudlard n'avait connus. James attendis patiemment le début de sa deuxième année, car enfin, il pourrait passer les sélections de Quidditch. Il s'était entraîné très dur tout l'été pour arriver à de bon résultat. James n'avait pas peur de la difficulté. S'il le fallait, il redoublait d'effort, ne lâchant jamais rien. S'il le voulait, il l'obtiendrait. Ne pouvant accepter la défaite, qui était une chose insupportable pour le garçon. Son travail paya, il intégra comme il le souhaitait ardemment, l'équipe des rouges au poste de poursuiveur.
LILY, TOUT SIMPLEMENT... Si James rencontra ses meilleurs copains à l'école il était également persuadé d'avoir rencontré la femme de sa vie. Ni plus, ni moins. Lily Evans. Ses boucles rousses. Ses yeux verts ensorcelant. Son caractère de feu. C'était indescriptible même pour lui de comprendre pourquoi il ressentait cela. Dès le début il apprécia la jeune née moldu. Mais il voyait son amitié avec le Serpentard d'un très mauvais œil et ne s'empêchant pas de lui exprimer son point de vue. Sirius appuyant ses dires, ils commencèrent à s'en prendre à Servillius comme ils se plaisaient à l'appeler. Mais c'était mal calculer son coup car en grandissant, alors qu'il réalisait l'ampleur de ses sentiments, Lily, elle avait bien réalisé combien elle le haïssait. Mais James ne perdait pas espoir et jamais ne lâchait prise. Il l'aurait, un jour ou l'autre. C'était une question de temps pour qu'elle réalise qu'ils étaient faits l'un pour l'autre. En attendant, il continuait son petit jeu de charmeur raté, accumulait les tentatives lourdes d'approches et ne cessait de s'enfoncer dans l'estime de la rousse. Les premiers mois, James encaissa les refus en rigolant, arguant qu'elle était trop timide. Puis, ne supportant plus les refus, il essaya de la blesser comme elle le blessait en affirmant qu'il n'était qu'un gamin prétentieux. Ce qui était complètement faux. Profiter de la vie ne faisait pas de lui un enfant, et il était doué, ce n'était pas de sa faute, il n'allait tout de même pas se rabaisser juste pour ses beaux yeux. Les surnoms, Miss-Je-Sais-Tout ou alors la-coincée firent leur apparition. Entre eux, James et Sirius utilisaient avec amusement Lily-la-tigresse tant parfois elle réagissait et se montrait sur la défensive avec une rapidité de l'éclair. La vérité c'est que le garçon se trouvait bête devant elle, et ne sachant quoi dire et quoi faire, se repliait derrière le masque de James-le-mariole. Un masque un peu trop exagéré devant Lily. La rouquine disait de lui qu'il était toujours en train de se mettre en avant, de faire l'imbécile, mais pour James, se passer la main dans les cheveux, sourire comme un demeuré n'était que le reflet de sa nervosité. Les années passaient, James grandissait. Mais malheureusement qu'en taille et en âge. Car sa maturité à l'égard de Lily n'évoluait pas d'un pouce. Le même m'as-tu-vu. Les mêmes phrases de drague passe-partout. Les mêmes comportements insupportables.
UNE AMITIÉ INDESTRUCTIBLE... Personne à part eux ne peut comprendre. On les appelle les maraudeurs et ça les fait rire. Un rien les amuse. Un rien leur suffis. Etre ensemble. Cette amitié, elle a commencé dès le début de leur scolarité, mais ce qui les a soudés c'est Remus. Remus et sa lycantrophie. C'est difficile de cacher un secret comme cela à une école entière, et pourtant aider d'une partie du corps professoral, voilà cinq ans que Remus y arrive... Mais il n'a fallu qu'une seule année pour que ses camarades comprennent. Et pourtant, il avait rusé, inventé mille excuses les unes plus probables que les autres. Mais ils étaient intelligent, et n'importe qui se pencherait sur la question réaliserait qu'il s'absentait régulièrement. Tous les 28 jours pour être exact. Et toujours, toujours à la période où la lune était pleine. Alors qu'il allait s'absenter une nouvelle fois, les garçons l'avaient coincés et sans faire preuve de tact, James avait balancé qu'ils étaient au courant, qu'ils savaient pour sa maladie qu'ils n'étaient pas stupide. Cela faisait quelques jours qu'ils savaient, ils avaient juste besoin de la confirmation que Remus leur apporta. Bien sûr, il n'apprécia pas que son secret soit découvert et redouta même les réactions des garçons, mais sembla soulagé quoique pour un moment seulement. Car bien vite, James ne mit pas longtemps à convaincre Sirius et Peter de devenir des Animagi. Sous forme animal, ils ne craindraient absolument pas le loup et donc pourraient passer les pleines lunes avec Remus. Un challenge de plus pour James. Devenir un Animagus était long et dangereux. Interdis par le ministère qui ordonnait le recensement. Mais qu'importait les conséquences, les garçons étaient jeunes et minimisaient le danger. Cela mit trois ans pour qu'ils réussissent la prouesse. Mais enfin, à la fin de leur quatrième année, juste après avoir soufflé ses quinze bougies James atteint son but. Il pouvait dès lors se transformer en un somptueux cerf. Il ria beaucoup de Sirius et se fit charrier en retour. Il y avait de quoi rire en effet, lors de ses transformations James gardait quelques taches brunes signes distinctifs des faons et pas la moindre trace de bois. Enfin, ça c'était la thèse que soutenait Sirius. Mais James le savais, ses petits bois étaient là. Ils poussaient à leur rythme. Et qui rira bien rira le dernier quand il aurait de superbe ramures. De là apparurent leur surnom. Wormtail, Padfoot, Moony et Prongs. Personne ne pouvait comprendre d'où venait ces surnoms, des clins d’œil à leurs animaux dont seul eux connaissait le secret. C'était à la vie à la mort, rien ne pouvait plus les séparer. La deuxième plus belle invention des garçons, minime à côté des Animagus fut la carte des maraudeurs. Grandissant de façon irrémédiable, il était devenu impossible d'être plus d'une personne sous la cape d'invisibilité de James hérité de son père. Malgré qu'ils connaissent le château par coeur et qu'avec les aptitudes développées de Remus ils évitaient les ennuis, l'idée d'une carte qui donnerait les localisations de chaque personne dans l'enceinte de Poudlard fit son apparition et surtout sensation. Ils ne mirent pas longtemps à la confectionner et ne cessèrent de la compléter dès qu'ils trouvaient un autre passage secret.
SEVERUS. IL A SON AMITIÉ. IL AURA MA HAINE... S'il savait. Si seulement il savait que toute cette haine, tout cet acharnement provenait de la jalousie maladive qu'il avait à son égard, alors peut être que Severus se défendrait avec plus de réussite. Car en vérité, il y avait bon nombre de Serpentard, alors pourquoi le choisir lui, parmi les autres, pour être son souffre-douleur ? Tout simplement car il obtenait, lui, les sourires de la rousse. Les messes basses en cours. Les regards complices qui voulaient tout dire et en disait plus long qu'une phrase. Car lui réussissait à la faire rire. Et c'était insupportable pour le garçon qui enrageait. C'était un vert, un perfide serpent. Et il se fit un devoir de le remettre à sa place. Lily devait ouvrir les yeux sur son soit disant meilleur ami. Lorsqu'ils avaient un sort, une potion ou autres choses de leur invention à tester, James et Sirius se tournaient immédiatement vers Severus. La cible idéale. Ils n'avaient même plus besoin de réfléchir. Le tourner en ridicule était l'un de ses passe temps favoris.
DES BUSEs ? A LA FIN DE L’ANNEE ? MAIS DE QUOI TU PARLES ! Quand il était question de travailler, James était un vrai fainéant comme on n’en fait pas beaucoup sur Terre. Toujours à rédiger ses devoirs dans la précipitation. Toujours à réviser ses examens la vieille. Pourquoi il en aurait fait autrement d’ailleurs ? C’était largement suffisant à assurer au garçon des notes tout à fait correcte –voir excellente en Métamorphose. Pas qu’il était un génie. Mais il avait quelques facilités. Et le peu qu’il faisait suffisait, au grand dam de ses professeurs qui aimerait bien le voir pousser un peu plus loin. Cette année était particulièrement important si l’on en croyait les professeurs. A chaque début de cours, le petit speech qui décrivait le programme de l’année c’était transformé en mise en garde. Le Brevet Universel de Sorcellerie Élémentaire arrivait. Ils allaient devoir travailler en conséquent. Blablabla. Leur avenir en dépendait. Blablabla. Le choix de carrière reposait sur leurs résultats. Blablabla. L'année allait être dure. Blablabla. Non, vraiment BUSEs ou pas, James n’allait pas se mettre à travailler deux fois plus, ni même prendre de l’avance dans ses devoirs. Il n'en était pas question. Les blagues et ses entrainements n’allaient pas cesser pour si peu. Il travaillerait en Mai. Soit dans très très longtemps. Que Remus essaye de le faire changer d’avis pour voir.
Dernière édition par James Potter le Ven 17 Juil - 23:52, édité 14 fois |
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